Les conséquences des changements climatiques et les effets prolongés des essais nucléaires sur la santé et l’environnement des pays de la région Pacifique font partie des sujets abordés lors de la réunion de la Commission des Églises pour les affaires internationales (CEAI) qui se tient du 19 au 21 février à Brisbane, en Australie.
«Nous célébrons nos cultes dans des langues et des cultures différentes, mais tous unis en Christ. C’est une expérience extrêmement enrichissante!» s’est réjouie Jude Long, principale du collège Nungalinya de Darwin (Territoire du Nord), en Australie, qui explorait cette semaine la spiritualité des populations autochtones du monde entier.
Alors que les communautés autochtones du monde entier se battent pour être reconnues, pour survivre et pour avoir le droit d’exister en tant que peuples distincts et autodéterminés, le COE organise un colloque sur la spiritualité et la théologie autochtones à Darwin, en Australie (Territoire du Nord).
Partis de centres urbains ou de petites îles du Pacifique, de massifs montagneux ou de communes rurales, plus de 170 autochtones se sont réunis cette semaine dans l’estuaire du fleuve qui parcourt les terres traditionnelles des Samis. Leur conférence, intitulée «Processus de réconciliation et populations autochtones: vérité, guérison et transformation», a rassemblé des représentantes et des représentants de plus d’une vingtaine de sociétés autochtones en marge des réunions du Comité central du COE à Trondheim, en Norvège.
Au cours du quatrième Forum des Nations Unies sur les entreprises et les droits de l’homme, le COE, en collaboration avec l’Alliance ACT et la Fédération luthérienne mondiale, a organisé une réunion sur le thème: «La contribution des organisations d’inspiration religieuse à la protection des droits fonciers des communautés – Leçons apprises et bonnes pratiques d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine».