Dans l'État de Kaduna, au nord-ouest du Nigeria, les chrétiens font les frais de l'insécurité et de la violence. Des bandits s'attaquent aux maisons, aux villages et aux Églises, tuant des chrétiens et en enlevant d'autres pour obtenir une rançon.
La persécution religieuse, l'ambition territoriale et le nettoyage ethnique sont au cœur de la violence communautaire dans la région, où les communautés se sont installées en fonction de leur religion, selon le pasteur John Joseph Hayab, directeur national de la Global Peace Foundation (Fondation mondiale pour la paix) au Nigeria.
Les membres du Conseil chrétien du Nigeria ont adopté "Out of the Shadows", un document conçue pour mettre fin à toutes les formes de violence sexuelle à l’encontre des enfants.
En avril 2021, le programme Initiatives et plaidoyer œcuméniques pour la lutte contre le VIH et le sida du Conseil œcuménique des Églises (COE) organisera des ateliers sur l’observance du traitement du VIH en Côte d’Ivoire et au Nigéria.
Du 1er au 5 mars à Jos (Nigéria), le Conseil œcuménique des Églises (COE) co-animera un atelier sur la réduction des risques et des vulnérabilités face au VIH pour les migrants, les réfugiés et les personnes déplacées à l’intérieur du territoire.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) est très préoccupée pour l’Afrique avec la nouvelle pandémie de coronavirus, mais les Églises du continent se préparent depuis un certain temps à affronter ce virus silencieux et mortel.
Les deux ateliers organisés au Nigéria et en Tanzanie par les Conseils locaux des Églises, en collaboration avec le Conseil œcuménique des Églises (COE), la Conférence des Églises de toute l’Afrique et l’UNICEF, ont consolidé le partenariat pour mettre fin aux violences sexuelles contre des enfants.
Un vent de changement souffle sur la Conférence des Églises de toute l’Afrique (CETA) avec la mise en œuvre d’un nouveau plan stratégique quinquennal.
Dans une ambitieuse feuille de route en six points, ce regroupement d’Églises protestantes, anglicanes, orthodoxes et autochtones a dévoilé des axes de travail totalement nouveaux en vue d’insuffler une énergie nouvelle aux programmes existants. Au cœur de la stratégie: l’efficacité, l’efficience et la fiabilité de l’instance œcuménique, soucieuse de s’acquitter de sa mission prophétique.
Et si le VIH n’était qu’un virus, et non plus un tabou? Cette semaine, les responsables religieux se sont rassemblés en Tanzanie afin de débattre de la stigmatisation et de la discrimination envers le VIH.
Le Conseil œcuménique des Églises, l’Alliance évangélique mondiale et la Conférence des Églises de toute l’Afrique, ainsi que des organisations humanitaires chrétiennes, des réseaux d’Églises, des organisations ecclésiales et leurs partenaires encouragent les congrégations religieuses du monde entier à célébrer, le 10 juin prochain, la deuxième «Journée mondiale de prière pour mettre fin à la famine».
Le pasteur Ikechukwu Anaga se souvient de l'époque où les gens ne connaissaient pas la campagne des «Jeudis en noir», le mouvement mondial de résistance contre les attitudes et les pratiques autorisant le viol et la violence.
Autour de la Conférence mondiale sur la mission et l’évangélisation (CME), plusieurs expositions ont été présentées par différents groupes et individus, avec des étals d’articles colorés à vendre: sacs, vêtements traditionnels, chaussures, bijoux et art.
Plus de 50 femmes du monde entier représentant des traditions confessionnelles variées se sont réunies les 6 et 7 mars à Arusha, en Tanzanie, pour une réunion préparatoire sur le thème «Femmes en mission sous l’impulsion de l’Esprit: un mentorat de transformation».
Au cours d’une opération symbolique dédiée au 70ᵉ anniversaire du Conseil œcuménique des Églises (COE), le 7 mars, les élèves de l’Institut mondial de théologie œcuménique (GETI) 2018 ont planté 12 arbres à l’université Tumaini Makumira d’Arusha, en Tanzanie.
Dans le cadre d’un appel à l’action lancé à la veille de la rencontre annuelle des dirigeants des premières puissances mondiales, le Conseil œcuménique des Églises (COE), l’Alliance ACT et la Conférence des Églises de toute l’Afrique (CETA) ont exhorté les dirigeants du G20 à prendre des mesures pour éradiquer la faim et faire durer la justice et la paix dans la Corne de l’Afrique.
Le 21 mai, Journée mondiale de prière pour mettre fin à la famine, des millions de croyants et croyantes, d’organisations religieuses et de communautés du monde entier ont prié, tweeté, publié des messages et discuté de vive voix au sujet des mesures d’urgence nécessaires pour aider les 20 millions de personnes souffrant de la famine au Soudan du Sud, en Somalie, au Yémen et au Nigeria.
Les mesures prises pour sauver la vie des 20 millions de personnes menacées par la famine au Yémen, en Somalie, au Soudan du Sud et au Nigeria sont très insuffisantes. Parmi les personnes en danger, on compte 1,4 million d’enfants qui risquent de mourir à court terme si l’aide humanitaire ne leur parvient pas immédiatement.
Alors que le nombre de personnes souffrant de la faim n'a jamais été aussi élevé dans l'histoire moderne, le COE et la Conférence des Églises de toute l'Afrique, aux côtés d'un certain nombre de réseaux et de partenaires confessionnels, lancent un appel à une Journée mondiale de prière pour mettre fin à la famine le 21 mai 2017, et ce, en réponse à la crise alimentaire.
Du 20 au 27 février, au Nigeria, le COE a organisé une rencontre du groupe de référence du Pèlerinage de justice et de paix dans le but de vérifier comment se déroule le Pèlerinage et de formuler des suggestions pour ses différentes initiatives et activités, en mettant tout particulièrement l’accent sur l’Afrique en 2017.
Quarante personnes représentant les conseils nationaux des personnes handicapées du Burundi, du Kenya, du Rwanda, de Tanzanie et d’Ouganda se sont réunies à Kigali (Rwanda) du 8 au 11 août pour étudier les moyens d'encourager un développement incluant le handicap en Afrique de l’Est.