Le Conseil œcuménique des Églises (COE) et ses Églises membres ont exprimé leur profonde préoccupation au sujet des émeutes violentes et massives que connaît Kinshasa (République démocratique du Congo) depuis le 19 janvier.
Le COE s’est déclaré profondément choqué par les attaques perpétrées par le groupe extrémiste Boko Haram au Nigeria, qui auraient coûté la vie à plus de 2 000 personnes, dont des enfants utilisés comme bombes humaines.
Un atelier dont l’objectif était de consolider la gouvernance démocratique et le processus électoral en République démocratique du Congo a été organisé à Kinshasa du 8 au 10 décembre.
في بيان صادر يوم 25 نوفمبر/ تشرين الثاني، حثت اللجنة التنفيذية لمجلس الكنائس العالمي جميع الدول بقوة على إتخاذ تدابير خاصة لحماية ودعم اللاجئين والنازحين من منطقة الشرق الأوسط، ولا سيما من دول مثل سوريا، والعراق وفلسطين - إسرائيل.
Le Comité exécutif du COE a instamment invité tous les pays à protéger et aider les personnes réfugiées et déplacées du Moyen-Orient, en particulier celles venant de pays tels que la Syrie, l’Irak et Israël-Palestine.
Une équipe du COE est allée rencontrer fin août des responsables religieux et des représentants des populations du nord de l'Irak afin d'évaluer la situation sur place. La région connaît une intensification de la violence et des déplacements forcés en raison des attaques menées par les militants de l'organisation qui se fait appeler l'«État islamique».
Dans une déclaration, COE a demandé au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies de mandater de toute urgence une mission pour établir, avec le rapporteur spécial sur la liberté de religion ou de conviction, un rapport sur ce que vivent les communautés minoritaires du nord de l'Irak persécutées par l'«État islamique».
Dans une lettre ouverte de solidarité adressée aux Églises membres du COE dans le nord de l'Irak, Isabel Apawo Phiri, secrétaire générale associée et secrétaire générale intérimaire du COE, a demandé d'intercéder en faveur des chrétiens, des communautés ecclésiales et des habitants de la plaine de Ninive, dans le nord de l'Irak, et des régions environnantes.
Inspiré par le thème du «pèlerinage de justice et de paix», le Comité central du COE, principal organe directeur du COE, a défini les orientations des activités du Conseil pour la période 2014-2017.
Le 3 juillet, le Comité central du COE réuni à Genève (Suisse) a consacré l’une de ses séances aux situations de conflit, de fragmentation sociale et de tensions politiques au Soudan du Sud, en Corée du Sud et au Nigéria, ainsi qu’aux luttes des Églises de ces pays en faveur de la justice, la paix et la stabilité pour tous les individus et toutes les communautés.
À l’occasion de leur première rencontre depuis 2009 et depuis la nomination d’un nouveau dirigeant de la Fédération chrétienne de Corée (FCC) en Corée du Nord en 2013, un groupe international de responsables d’Églises de 34 églises et organisations provenant de 15 pays, dont la Corée du Nord et la Corée du Sud, se sont réunis près de Genève, en Suisse, pour réfléchir aux moyens de faire avancer le processus de réconciliation et de paix dans la péninsule.
La peine de flagellation et la condamnation à mort prononcées par un tribunal soudanais à l'encontre de Mariam Yahia Ibrahim Ishag ont suscité la «profonde préoccupation» du pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du COE, qui a exhorté le président Omar Hassan Ahmad Al Bashir à intervenir pour «empêcher l'exécution de cette sentence injuste et indéfendable».
À l'occasion d'une conférence de presse donnée à Séoul (République de Corée) le 9 avril, le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du COE, a annoncé qu'un colloque international sur la paix, la réconciliation et la réunification de la péninsule coréenne se tiendrait à Genève en juin 2014.
Le COE s'est dit particulièrement préoccupé par le nombre croissant de personnes déplacées ainsi que par le conflit que connaît actuellement le Soudan du Sud, dans des déclarations adoptées le 12 février par son Comité exécutif réuni en session à Bossey (Suisse).
Le Comité exécutif du COE a condamné l'utilisation de drones, véhicules aériens sans pilote, au motif que ceux-ci posent «de sérieuses menaces à l'humanité» et au «droit à la vie» et qu'ils établissent «de dangereux précédents dans les relations entre États».