Nouvelle
Disponible en:
Le 31 janvier, à Genève, Cheikh Bentounès, qui a contribué à faire du 16 mai la Journée internationale du vivre ensemble en paix, a pris part à une célébration interreligieuse dans le cadre de son rôle de président d’honneur de l’organisation non gouvernementale AISA ONG Internationale.
Lors de cet événement, il a proposé une réflexion sur le thème «La paix, source du bien». Il a expliqué que l’humanité fait face à des obstacles qui peuvent s’avérer difficiles à surmonter.
«Les différentes crises que nous traversons sont symptomatiques d’un monde malade, d’un modèle de société en perte de vitesse», a déclaré Cheikh Bentounès. «Comment aspirer à la paix dans le monde si nous ne sommes pas en paix avec nous-mêmes et avec les autres?»
Pour lui, nous avons besoin d’une nouvelle logique. «Cette évolution passe également par une redéfinition de la notion de paix, qui ne peut pas se limiter à l’absence de conflits entre les nations», a-t-il expliqué. «C’est un état d’esprit personnel qui doit nous accompagner à chaque instant.»
