Alors qu’elle se réunit cette semaine à Brisbane, en Australie, la Commission des Églises pour les affaires internationales du Conseil œcuménique des Églises (COE) a été informée des conséquences durables pour les îles du Pacifique des cinquante années d’essais nucléaires dans la région, devenue l’une des zones du monde les plus sensibles aux changements climatiques.
Le pré-lancement de la campagne de carême «Sept semaines pour l’eau» s’est déroulé à Suva (Fidji) le 21 janvier, sur le thème «Un pèlerinage de justice de l’eau dans le Pacifique». En 2020, le Pèlerinage de justice et de paix du Conseil œcuménique des Églises (COE) met l’accent sur le Pacifique.
Dans le cadre de ses efforts renouvelés pour interdire les armes nucléaires, le Conseil œcuménique des Églises a déclaré publiquement soutenir la pétition de la Polynésie française adressée aux Nations Unies demandant réparation pour les effets persistants des essais nucléaires qui s’y sont produits.
Une jeune samoane méthodiste qui a joué un rôle lors du service avec le pape François, à l’occasion de la visite du souverain pontife au Conseil œcuménique des Églises (COE) à Genève, déclare qu’il est important que des jeunes soient désignés pour lire les prières et les messages.
«Vous êtes les premiers. De toutes les Églises membres du Conseil œcuménique des Églises à travers le monde, vous êtes les premiers à voir se lever l’aube de chaque nouvelle journée et à louer Dieu», s’est exclamé le pasteur Olav Fykse Tveit, secrétaire général du COE, lors d’une prédication qu’il a prononcée le 6 août à la chapelle Centenary de l’Église wesleyenne indépendante de Tonga, dans la capitale Nuku’alofa.