Dans un document remis à la Cour pénale internationale (CPI), le Conseil œcuménique des Églises (COE) s’est félicité qu’une politique générale soit mise en place pour imposer de rendre des comptes en matière de crimes contre l’environnement.
Le président de la Commission pour la justice climatique et le développement durable du Conseil œcuménique des Églises (COE), l’archevêque Julio Murray Thompson, livre ses réflexions lors d’une entrevue vidéo donnée au COE sur les défis que doit relever la commission, les partenariats qu’elle compte nouer et la manière dont elle prévoit d’impliquer les jeunes.
Des intervenant-e-s du monde entier impliqué-e-s dans les travaux de trois commissions essentielles du Conseil œcuménique des Églises (COE) ont évoqué les tendances géopolitiques mondiales ayant une incidence sur leurs activités et sur les membres de leurs Églises.
Le panel, dirigé par la Commission des Églises pour les affaires internationales, a été modéré par le M. Mathews George Chunakara, secrétaire général de la Conférence chrétienne d’Asie.
Au cours d’un panel ayant eu lieu à l’occasion de la réunion de trois commissions du Conseil œcuménique des Églises (COE) le 5 mars, les intervenant-e-s ont exploré le thème «Urgence climatique — la réponse des Églises grâce à la foi et à l’espérance». La table ronde a été modérée par l’archevêque Julio Murray Thompson, qui modère également la Commission des Églises pour la justice climatique et le développement durable, organisatrice de la table ronde.
Trois commissions du Conseil œcuménique des Églises (COE), à savoir la Commission des Églises pour les affaires internationales, la Commission des Églises pour la santé et la guérison et la Commission des Églises pour la justice climatique et le développement durable, se réunissent du 5 au 8 mars à Genève autour du thème «La foi, la diaconie et un témoignage efficace au XXIe siècle».
Samson Waweru, un Kényan malvoyant, est directeur exécutif de la Société kényane des aveugles. Dans le cadre de son large mandat, il lui revient de soutenir les personnes aveugles et malvoyantes au Kenya. Il se concentre sur des domaines tels que la prévention, l’éducation, la réadaptation, l’emploi et le bien-être dans son ensemble. Samson est également vice-président de la Cathédrale des saints Côme et Damien à Nairobi, illustration de son attachement à ses obligations tant professionnelles que spirituelles.
Si la COP28 n’a pas accouché d’un plan crédible pour sortir progressivement des combustibles fossiles, il demeure des raisons d’espérer que le monde puisse avancer vers la justice climatique, a indiqué le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises, le pasteur Jerry Pillay à la fin de la COP28.
Le 5 décembre, le Conseil œcuménique des Églises (COE) a signé la charte «2050Aujourd’hui» par laquelle il s’engage à réduire ses émissions de gaz à effet de serre. 2050Aujourd’hui est un forum d’action climatique genevois qui fédère les institutions de Genève déterminées à réduire ces émissions.
Réuni à Abuja, au Nigeria, du 8 au 14 novembre, le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) a publié une déclaration concernant la responsabilité de la COP28 en matière de justice climatique.
Les enfants qui se sont réuni-e-s avant et pendant le Sommet pour un nouveau pacte financier mondial, organisé les 22 et 23 juin à Paris, ont adressé un message clair au président Macron et aux dirigeant-e-s du monde entier: le modèle économique colonial actuel doit être remplacé par un modèle qui fait passer l’humanité avant les profits.
Une délégation du Conseil œcuménique des Églises (COE) menée par le pasteur Pillay, secrétaire général du COE, s’est rendue cette semaine à New York et à Washington, DC. Elle y a rencontré des représentant-e-s des Nations Unies, le nonce apostolique, le Conseil national des Églises d’Amérique du Nord, d’autres responsables d’Églises, des organisations œcuméniques et des représentant-e-s de l’État.
Dans une volonté de rejoindre celles et ceux qui s’engagent en faveur d’un avenir juste et durable pour le continent, les représentant-e-s des Églises membres du Conseil œcuménique des Églises (COE) en Amérique latine se sont réuni-e-s en juin dans le cadre du Comité central du COE pour identifier leurs préoccupations communes.
L’urgence climatique provoque d’ores et déjà une grave insécurité alimentaire à l’échelle mondiale. Tel est le message entendu par les membres du Comité central du Conseil œcuménique des Églises (COE) lors de la séance plénière du 23 juin. Ils et elles ont ensuite précisé que la justice climatique était un sujet qui relève en même temps de la foi et de l’action.
Ces mots, extraits d’un poème action, reflètent le genre de femme qu’une jeune femme souhaite devenir; ils étaient illustrés par les images en mouvement de l’implication des femmes au sein du mouvement œcuménique. Ce poème action était l’un des temps forts d’une réunion passionnante des femmes du mouvement œcuménique présentes lors de la réunion du Comité central du Conseil œcuménique des Églises (COE), le 22 juin.
Le Conseil œcuménique des Églises (COE), en collaboration avec la Fédération luthérienne mondiale (FLM), Soka Gakkai International et Brahma Kumaris, a organisé une manifestation parallèle intitulée «Concrétiser l’action climatique: soutenir un Bilan mondial robuste axé sur les droits humains et éthique» le 5 juin à Bonn, en Allemagne. L’événement a rassemblé des expert-e-s et parties prenantes dans le but de mettre l’accent sur l’importance d’intégrer les droits humains, les considérations éthiques et la justice climatique dans le prochain processus du Bilan mondial.
Alors que le Pape François fait passer un message en préparation de la Journée mondiale de prière pour la sauvegarde de la Création, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), Jerry Pillay, a fait part de réflexions appuyant le message centré sur la thématique «Que la justice et la paix se répandent».
«La justice fiscale est une question de foi», déclare Suzanne Matale. «La foi permet [à tous et à toutes] d’avoir la vie en abondance. Les personnes ordinaires ont le droit d’être informées et de participer aux prises de décision qui touchent à notre dignité donnée par Dieu».
Alexandra Masako Goossens-Ishii travaille pour un réseau communautaire bouddhiste international et indique que son travail de plaidoyer se concentre de plus en plus sur l’agrosylviculture et l’agroécologie, ce qui s’imbrique dans ses relations avec le Conseil œcuménique des Églises (COE).
O seminário com duração de um dia inteiro, “Cuidar da Terra, Transformar Vidas: Elos entre Fé e Regeneração Natural”, em 12 de maio, reuniu participantes de forma presencial e on-line para coletar ideias sobre como tornar nosso planeta verde novamente.