Le président de la Commission pour la justice climatique et le développement durable du Conseil œcuménique des Églises (COE), l’archevêque Julio Murray Thompson, livre ses réflexions lors d’une entrevue vidéo donnée au COE sur les défis que doit relever la commission, les partenariats qu’elle compte nouer et la manière dont elle prévoit d’impliquer les jeunes.
Dans un entretien vidéo du Conseil œcuménique des Églises (COE), le président de la Commission des Églises pour la santé et la guérison du COE, le père Stavros Kofinas évoque les orientations de cette commission, sa vision pour examiner la «plénitude de la personne» et ses idées pour impliquer les jeunes.
«Ce n’est pas l’environnement qui nous donne; c’est nous qui donnons à l’environnement», a déclaré le père Stavros Kofinas, coordinateur du Réseau du Patriarcat œcuménique pour la pastorale de la santé, et nouveau modérateur de la Commission des Églises pour la santé et la guérison du Conseil œcuménique des Églises (COE), lors d’une prise de parole, à l’occasion d’un débat entre trois commissions du COE organisé le 5 mars dernier.
Au cours d’un panel ayant eu lieu à l’occasion de la réunion de trois commissions du Conseil œcuménique des Églises (COE) le 5 mars, les intervenant-e-s ont exploré le thème «Urgence climatique — la réponse des Églises grâce à la foi et à l’espérance». La table ronde a été modérée par l’archevêque Julio Murray Thompson, qui modère également la Commission des Églises pour la justice climatique et le développement durable, organisatrice de la table ronde.
Trois commissions du Conseil œcuménique des Églises (COE), à savoir la Commission des Églises pour les affaires internationales, la Commission des Églises pour la santé et la guérison et la Commission des Églises pour la justice climatique et le développement durable, se réunissent du 5 au 8 mars à Genève autour du thème «La foi, la diaconie et un témoignage efficace au XXIe siècle».
Jackline Makena Mutuma est membre du clergé de l’Église méthodiste du Kenya et étudiante à l’Institut œcuménique de Bossey du Conseil œcuménique des Églises où ses recherches portent sur l’interaction entre l’esclavage moderne et le réchauffement climatique. Par ailleurs, elle a récemment été élue vice-présidente de la Commission de Foi et constitution du COE. Dans un entretien au COE, elle livre ses réflexions sur la question pressante de la prévention de l’esclavage moderne.
Si la COP28 n’a pas accouché d’un plan crédible pour sortir progressivement des combustibles fossiles, il demeure des raisons d’espérer que le monde puisse avancer vers la justice climatique, a indiqué le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises, le pasteur Jerry Pillay à la fin de la COP28.
Les responsables religieux-ses d’une quarantaine d’organisations confessionnelles du monde entier se sont mis-es d’accord pour continuer à défendre le droit individuel de demande d’asile, lors d’une réunion à Genève. C’était un moment fort à la veille du Forum mondial sur les réfugiés, le plus grand rassemblement international de ce type au monde. Ils et elles se sont réuni-e-s le 12 décembre, au Conseil œcuménique des Églises (COE), sous la présidence d’un archevêque arménien et d’une diplomate des Nations unies, ancienne législatrice turque.
Sa Toute-Sainteté le patriarche œcuménique Bartholomée s’est exprimé devant une assemblée de responsables religieux rassemblés au Centre œcuménique du Conseil œcuménique des Églises le 12 décembre, à la veille de l’ouverture du Forum mondial sur les réfugiés.
Le 5 décembre, le Conseil œcuménique des Églises (COE) a signé la charte «2050Aujourd’hui» par laquelle il s’engage à réduire ses émissions de gaz à effet de serre. 2050Aujourd’hui est un forum d’action climatique genevois qui fédère les institutions de Genève déterminées à réduire ces émissions.
Réuni à Abuja, au Nigeria, du 8 au 14 novembre, le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) a publié une déclaration concernant la responsabilité de la COP28 en matière de justice climatique.
Réuni à Abuja, au Nigeria, du 8 au 14 novembre, le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) a publié une déclaration concernant la responsabilité de la COP28 en matière de justice climatique.
Du 1er septembre au 4 octobre, les chrétiennes et les chrétiens du monde entier prient pour la création et en prennent soin lors du «Temps pour la Création». Les dates de début et de fin de cette période sont liées aux préoccupations pour la création dans les traditions orientales et occidentales respectivement du christianisme.
Les enfants qui se sont réuni-e-s avant et pendant le Sommet pour un nouveau pacte financier mondial, organisé les 22 et 23 juin à Paris, ont adressé un message clair au président Macron et aux dirigeant-e-s du monde entier: le modèle économique colonial actuel doit être remplacé par un modèle qui fait passer l’humanité avant les profits.
Le professeur Fabien Revol, président de la Société œcuménique et francophone de théologie de l’écologie et professeur de théologie à l’Université catholique de Lyon, se penche sur le lancement du livre «Penser les relations écologiques en théologie à l’ère de l’Anthropocène», qui est le fruit d’un séminaire sur la théologie de l’écologie organisé en 2021 par le Conseil œcuménique des Églises (COE) en partenariat avec la Société francophone.
50 jeunes de 24 pays ont envoyé un message d’espoir à la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP 28), qui sera accueillie par les Émirats arabes unis fin 2023. Le message a été communiqué à l’occasion d'une cérémonie spéciale qui a eu lieu au cours de la deuxième édition du Forum des nouveaux artisans de la paix organisée à l’Institut œcuménique de Bossey, en Suisse.
Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a contribué au séminaire «La justice sociale dans le monde du travail et au-delà: des valeurs communes à l’engagement et à l’action communs», lors duquel des réflexions sur la dignité du travail, la justice et la solidarité sur le lieu de travail ont été menées.