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Les responsables religieux tirent la sonnette d’alarme sur la concentration de richesse et de pouvoir qui, dans le monde entier, a atteint des seuils «sans précédent» et «alarmants», entraînant une exacerbation des inégalités, une érosion de la démocratie et une aggravation de la crise climatique. L’appel œcuménique à l’action est lancé dans un communiqué conjoint publié ce jour à l’issue d’une réunion de trois jours à Genève du Panel œcuménique pour une nouvelle architecture financière et économique internationale.

Une rencontre historique sur les dimensions spirituelles de la crise écologique a rassemblé les responsables chrétien-ne-s de traditions orientales et occidentales à Assise, en Italie, pour concevoir une Fête de la création liturgique commune. La conférence s’est déroulée sur trois jours du 5 au 7 mai et a constitué une étape importante vers ce que l’évêque Heinrich Bedford-Strohm qualifie de «merveilleuse expression de l’essence trinitaire qui nous unit en tant qu’Églises» et de réponse spirituelle forte aux enjeux climatiques urgents qui assaillent le monde.

Lors d’une visite auprès des Églises et des communautés du Bangladesh, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, a rencontré des responsables religieux, a pris part à des dialogues interreligieux et a dit la solidarité pour toutes les personnes au Bangladesh aux prises avec la dévastation engendrée par les changements climatiques.

La ressource «Hope for Children Through Climate Justice: Legal Tools to Hold Financiers Accountable» («De l’espoir pour les enfants grâce à la justice climatique: des outils juridiques pour responsabiliser les acteurs financiers», non traduit) récemment publiée propose aux Églises et aux communautés des outils juridiques essentiels conçus pour responsabiliser les acteurs financiers qui jouent un rôle dans la persistance de la crise climatique.

Tandis que les inégalités économiques atteignent des niveaux alarmants, des responsables religieux, des économistes et des défenseuses et défenseurs de la justice vont se réunir pour la 6^e réunion du Groupe œcuménique sur une nouvelle architecture financière et économique internationale (NAFEI) du 25 au 27 mars à Genève. Organisée par le Conseil œcuménique des Églises (COE) en collaboration avec la Communion mondiale d’Églises réformées, la Fédération luthérienne mondiale, le Conseil méthodiste mondial et le Conseil pour la mission mondiale, cette réunion portera sur les réformes économiques urgentes pour un avenir plus juste et plus durable.

Le Conseil œcuménique des Églises (COE) publie un rapport intitulé Indigenous Spiritualities, Land Rights, and Climate Justice (Spiritualités autochtones, droits fonciers et justice climatique, non traduit). Édité par Lori Ransom, consultante auprès du COE pour les populations autochtones, ce rapport s’apparente à une plateforme où s’expriment les voix claires, pressantes et vitales des populations autochtones face à la catastrophe climatique que nous vivons.

Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a accueilli le Prof. Dr Karen Nazaryan, directeur exécutif de l’Armenia Roundtable Foundation (Fondation Table ronde Arménie), au Centre œcuménique à Genève pour une série de réunions stratégiques en vue de renforcer la coopération dans la diaconie œcuménique et le développement social.

Le Conseil œcuménique des Églises (COE) lance la campagne «Transformer la dette en espoir» – un appel mondial à lutter contre l’injustice de la dette et les inégalités face aux changements climatiques qui entravent la capacité des nations vulnérables à faire respecter les droits humains fondamentaux.

Le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) a publié une déclaration portant sur l’intensification de la crise environnementale et de ses conséquences humanitaires.

Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a coorganisé deux événements parallèles pour traiter des impacts non économiques des changements climatiques. Ces discussions ont porté sur les conséquences des changements climatiques pour les communautés vulnérables dans le monde, notamment les populations autochtones, en raison de leurs effets sur le patrimoine culturel, les pratiques spirituelles et la résilience communautaire.

À la COP29, les responsables religieux mettent l’accent sur le besoin de prendre soin de la création que Dieu a créée et de protéger les plus vulnérables qui ont le moins contribué aux changements climatiques, mais qui en subissent les pires effets.

Le Conseil œcuménique des Églises (COE) portera un message moral fort à la COP29, la conférence des Nations Unies sur les changements climatiques qui se déroule du 11 au 22 novembre à Bakou, en Azerbaïdjan. Lors de ce rassemblement clé, le COE défendra une action climatique axée sur de la justice, appelant à un financement réel des efforts climatiques, à protéger les communautés les plus touchées par les changements climatiques et à sortir rapidement des combustibles fossiles.

Le Conseil œcuménique des Églises, l’Alliance ACT et la Fédération luthérienne mondiale ont publié un «Appel à l’action pour la biodiversité et la justice climatique lors de la COP16».

Le Conseil œcuménique des Églises (COE) entame son cheminement au gré des trois COP, qui commence par la COP16 sur la biodiversité en Colombie, en promouvant une approche holistique de la gérance environnementale. Ancré dans la foi et orienté par le souci de la création, le COE appelle à des politiques intégrées pour relever les défis liés que sont la perte de biodiversité, les changements climatiques et la dégradation des sols tout en amplifiant les voix des populations autochtones et des communautés vulnérables.

Pour montrer comment nos choix financiers peuvent contribuer à combattre la désertification et à créer un avenir durable pour nos enfants, le Conseil œcuménique des Églises (COE) a publié une vidéo «Du désespoir à l’espoir» en anglais, allemand, français, espagnol et arabe.

Le Groupe de référence sur la diaconie créé par le Conseil œcuménique des Églises (COE) a tenu sa réunion inaugurale du 30 septembre au 2 octobre à Erevan (Arménie). Coprésidé par la pasteure Pauliina Parhiala (Mission évangélique luthérienne finlandaise) et Mme Rebecca Teiko Sabah (Église presbytérienne du Ghana), il a abordé des thèmes tels que la justice climatique, la décolonisation et la collaboration diaconale.