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Dans une déclaration intitulée «Aspiration à une paix juste en Europe», le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) a rappelé, le cœur lourd, que la guerre sévit désormais en Ukraine depuis plus de 1000 jours. «Chacun de ces jours a été entaché du sang de tant de civil-e-s et de combattant-e-s, tué-e-s et estropié-e-s, et a apporté son lot de déplacements traumatisants de communautés, et de destruction de maisons, de moyens de subsistance et d’infrastructures civiles», peut-on lire dans la déclaration. «Nous réaffirmons notre vocation chrétienne et notre désir de paix et de justice, sans laquelle, aucune paix n’est durable.»

Le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, et le président du COE, l’évêque Heinrich Bedford-Strohm, exhortent à la prudence concernant la loi adoptée par le Parlement ukrainien, la Rada, interdisant les activités des organisations religieuses liées à la Russie en Ukraine.

Le pasteur Jerry Pillay, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), a dénoncé les frappes de missiles russes qui ont touché Kyiv et d’autres régions très peuplées d’Ukraine, tuant au moins 34 personnes et dévastant deux des principaux hôpitaux pour enfants, dont le plus grand centre pédiatrique du pays.

Dans une note sur l’intensification de la guerre en Ukraine, le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) a appelé à «mettre un terme à l’invasion et à l’occupation du territoire ukrainien et à rétablir la paix dans la région.»

Le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, a dénoncé l’attaque de missiles russes qui a touché une quincaillerie de Kharkiv, en Ukraine. Au moins 14 personnes ont été tuées et 40 autres ont été blessées des suites de cette frappe.

Au nom de ses Églises membres, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, a affirmé que le COE ne pouvait pas réconcilier le décret du XXV^e Conseil mondial du peuple russe, qualifiant le conflit en Ukraine de «guerre sainte».

Le pasteur Jerry Pillay, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), a dénoncé la poursuite de la campagne russe visant à terroriser le peuple ukrainien, «illustrée par les attaques de missiles d’hier contre plusieurs villes ukrainiennes qui ont fait au moins 30 morts et plus de 160 blessés.»

Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a annoncé par la bouche de son secrétaire général, le pasteur Jerry Pillay, qu’il reportait la table ronde initialement prévue au sujet de l’Ukraine.

Au cours du voyage d’une délégation de la direction du Conseil œcuménique des Églises (COE) en Ukraine, au cours du mois de mai, un service de prières œcuménique s’est tenu le 12 mai à Boutcha, en banlieue de Kyiv. Le service, dirigé par la direction du COE, le pasteur Jerry Pillay, secrétaire général du COE, l’évêque Heinrich Bedford-Strohm, président Comité Central du COE et l’archevêque Vicken Aykazian, avec la participation de membres du Conseil des Églises et organisations religieuses d’Ukraine (UCCRO), a eu lieu en l’église orthodoxe Saint Andrew à Boutcha. 

Le président du Comité central du Conseil œcuménique des Églises, l’évêque Heinrich Bedford-Strohm, a donné une conférence au doyenné de Kitzingen, une circonscription ecclésiastique régionale non loin de Wurtzbourg, destinée aux paroissien-ne-s du doyenné et au grand public. Organisée le 29 avril, elle était intitulée «Une paix juste par la force militaire? Considérations éthiques en faveur de la paix dans le contexte de la guerre d’agression contre l’Ukraine».

Le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, est en visite à Moscou cette semaine pour rencontrer S. S. le patriarche Cyrille de Moscou et de toutes les Russies, ainsi que des représentant-e-s de la plus grande Église membre du COE.

À l’occasion de la Prière mondiale pour la paix du 22 mars, les chrétiennes et les chrétiens du monde entier se sont réuni-e-s pour prier en faveur de la paix dans un monde brisé et pour écouter les voix des personnes souffrant en Ukraine et dans d’autres régions touchées par les conflits.

Le 22 mars prochain, une prière pour la paix dans le monde rassemblera les fidèles chrétiens dans l’espoir d’un avenir meilleur. Un communiqué publié par le comité de planification de la prière explique que les chrétien-ne-s sont appelé-e-s à s’unir dans la prière et à défendre la paix. «Dans un contexte mondial pris d’assaut par la guerre et la violence, la pratique de la paix est devenue plus urgente que jamais», précise le texte.

Le Conseil des Églises et organisations religieuses d’Ukraine invite les fidèles de toutes les dénominations à jeûner et prier ensemble le 24 février, soit un an après le début de la guerre en Ukraine.

Selon l’Institut pour les libertés religieuses, au moins 494 édifices religieux ont été détruits, endommagés ou pillés en Ukraine des suites de l’invasion russe, et la saisie de bâtiments religieux pour en faire des bases militaires russes ne fait qu’accroître la destruction des sites religieux en Ukraine.

Le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises, le pasteur Jerry Pillay, a dénoncé les attaques incessantes contre les populations et les infrastructures civiles par la Russie dans sa guerre illégale menée contre le peuple d’Ukraine.

Le Conseil œcuménique des Églises (COE) se réjouit d’apprendre que le prix Nobel de la paix 2022 a été décerné au militant bélarusse de défense des droits de la personne emprisonné Ales Bialiatski, à l’organisation russe de défense des droits de la personne, Memorial, et au Centre pour les libertés civiles ukrainien.

Le père Ioan Sauca, secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE) s’est rendu à Moscou cette semaine et a rencontré S. S. le patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie ainsi que des représentant-e-s de la plus grande Église membre du COE.

La 11e Assemblée du Conseil œcuménique des Églises (COE) a publié une note intitulée «Conséquences de la guerre au Haut-Karabakh en 2020», dans laquelle il réitère sa condamnation du recours aux armes chimiques et aux armes à sous-munition, la prise pour cible de civils, d’hôpitaux et d’infrastructures publiques, et tous les autres crimes de guerre, les décapitations, la torture et les autres atrocités observées lors du conflit.