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La délégation palestinienne rend visite au COE

L’ambassadeur Ibrahim Khraishi, mission de Palestine en Suisse; l’ambassadeur Omar Awadallah, ministre adjoint pour les Nations Unies et les organisations spécialisées; et Doa Nofal, deuxième secrétaire de la Mission permanente d'observation de l'État de Palestine auprès de l’Organisation des Nations Unies et des autres organisations internationales à Genève se sont rendu-e-s au Conseil œcuménique des Églises (COE) le 6 juillet pour aborder la situation actuelle en Palestine. 

Le COE appelle à mettre un terme à la violence en Cisjordanie

Le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, a appelé à mettre un terme à l’attaque de l’armée israélienne à Jénine. Le COE condamne l’agression et appelle à la cessation de toute violence en Cisjordanie, y compris celle perpétrée par les colons israéliens.

Le COE commémore le 75e anniversaire d’«Al-Nakba»

À l’occasion des commémorations du 75e anniversaire de ce que les Palestinien-ne-s appellent la Nakba, «la catastrophe», le déracinement de centaines de milliers de personnes à la création d’Israël en 1948, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, a exprimé sa solidarité avec les Églises membres en Terre sainte.

Les accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques aident les populations à se sentir plus en sécurité en Palestine et en Israël

«Les militaires sont parti-e-s parce que vous regardiez.»

«Je peux faire paître mon troupeau près de la base militaire parce que je me sens en sécurité en présence des accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques, et les colons me harcèlent moins quand vous êtes ici, à proximité.»

«Nous nous sentons en sécurité en présence des accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques.»

À Jérusalem-Est, «les gens doivent comprendre ce qui se passe lorsque des colonies sont construites»

Pour les 380 000 Palestiniens qui vivent à Jérusalem-Est, la vie quotidienne est souvent entachée d'inégalités dans des domaines aussi variés que le logement, les services de santé, la garde d'enfants et même le ramassage des ordures. Bien que les Palestiniens représentent 39% de la population de la ville, il existe de nombreuses disparités dans les services qu'ils reçoivent.

La zone E1, terre de promesses futures ou rêve brisé pour la Palestine?

Jad Issac a tendance à penser avec les chiffres. S’agissant des territoires de Cisjordanie situés aux abords de Jérusalem et de la vallée du Jourdain, aussi connus sous le nom de zone E1, J. Issac fait face à un chiffre très élevé: une perte de 2 milliards de dollars par an pour les Palestiniens et Palestiniennes contre la possibilité de gagner net le même montant, de rembourser des dettes et d’aider à son tour des pays plus pauvres. Cette somme astronomique correspond à des opportunités touristiques perdues en raison des difficultés d’accès à la zone E1, à la vallée du Jourdain et à la mer Morte, d’après l’étude sur le coût économique de l’occupation menée par l’institut de recherches appliquées de Jérusalem.

Une prière pour la paix dans le monde rassemblera les fidèles chrétiens dans l’espoir d’un avenir meilleur

Le 22 mars prochain, une prière pour la paix dans le monde rassemblera les fidèles chrétiens dans l’espoir d’un avenir meilleur. Un communiqué publié par le comité de planification de la prière explique que les chrétien-ne-s sont appelé-e-s à s’unir dans la prière et à défendre la paix. «Dans un contexte mondial pris d’assaut par la guerre et la violence, la pratique de la paix est devenue plus urgente que jamais», précise le texte.

Privée de carte d’identité à Jérusalem, Samyah, 26 ans, déclare: «j’ai perdu mon droit à mener une vie normale»

La jeune Samyah*, âgée de 26 ans, n’a pas de carte d’identité palestinienne ni israélienne. Née en Cisjordanie, elle détenait une carte d’identité de Jérusalem du nom de son père qui a été révoquée. Elle a appris la révocation à l’âge de 16 ans, alors qu’elle pensait pouvoir partir en voyage scolaire en Suisse. Ce ne fut pas le cas. Depuis, Samyah et sa famille luttent pour qu’elle obtienne une nouvelle carte d’identité de Jérusalem.