En exprimant sa profonde inquiétude et en alertant sur la détérioration de la situation des droits humains en territoire palestinien occupé, le COE suggère une série de mesures en réponse aux récentes violences dans la bande de Gaza et autres actes de provocations en Israël et en Palestine.
Le 23 avril, les accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques de plus de 20 pays ont remis à un nouveau groupe la «feuille de route» établie par le Programme œcuménique d’accompagnement en Palestine et en Israël (EAPPI) du Conseil œcuménique des Églises.
Le Jury œcuménique du 32e Festival International de Films de Fribourg (FIFF), qui s'est déroulé du 16 au 24 mars, a décerné son Prix au film Foxtrot, du réalisateur israélien Samuel Maoz. Le long-métrage aborde l'omniprésence de la violence et de la mort au sein de la société israélienne et palestinienne, en plein conflit israélo-palestinien. Ce film a également décroché le Prix Don Quichotte de la Fédération internationale des ciné-clubs (FICC).
Dans un acte extrêmement inhabituel, les responsables des Églises de Jérusalem ont fermé les portes de l’église du Saint-Sépulcre dimanche dernier. Cette protestation est une réaction aux nouvelles mesures prises par les autorités de Jérusalem pour collecter des dizaines de millions de dollars sous forme de taxes aux Églises, ainsi qu'à un projet de loi visant à confisquer les terres appartenant aux Églises.
Une chaleureuse effervescence règne dans l'église. On assiste à d'heureuses retrouvailles. Amis et collègues sont réunis. Pour certains, l'heure est aux adieux. Pour d'autres, l'heure est aux messages de bienvenue. Près de 150 personnes sont réunies dans l'église Sainte-Anne, à Jérusalem-Est. Toutes ont souhaité prier pour une paix juste, mettre fin à 50 ans d'occupation et la solidarité entre Palestiniens et Israéliens. L'heure est venue pour les accompagnateurs œcuméniques du groupe 67 de passer le flambeau à ceux du groupe 68.
Convaincus que la décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël constitue un sérieux coup porté aux efforts en faveur d'une paix juste et durable en Terre sainte et risque de raviver les tensions dans la région, les chrétiens du monde entier ont souhaité le faire savoir.
Réuni à Amman (Jordanie) du 17 au 23 novembre, le Comité exécutif du COE a publié un communiqué dans lequel il exprime ses inquiétudes quant aux menaces que font peser les contrats à la légalité contestée, les colons radicaux et les politiques du gouvernement d'Israël sur les institutions et les biens religieux de Jérusalem.
De Genève à Bethléem et ailleurs dans le monde, la Semaine mondiale pour la paix en Israël et en Palestine, initiative du Conseil œcuménique des Églises (COE), a inspiré, la semaine dernière, des rassemblements de prière, de réflexion et d’action.
Le Conseil œcuménique des Églises (COE) invite des personnes du monde entier à s’unir pour des actions pacifiques qui créeront un témoignage public commun d’envergure internationale en faveur de la paix en Palestine et Israël.
Au nom de la paix, les responsables d’Églises de Jérusalem appellent à préserver le statu quo historique qui permet d’accéder à la mosquée al-Aqsa et à son parvis, ainsi qu’aux autres lieux saints de la ville.
«Il n'y a toujours pas de justice sur notre territoire», déplore ainsi la Coalition nationale des organisations chrétiennes de Palestine dans une lettre ouverte adressée au COE et au mouvement œcuménique, et ce, à l'occasion d'une concertation sur la paix dans le monde organisée le 20 juin dernier.
S'exprimant en Terre sainte à l'occasion de la consultation « 50 ans d'occupation ; la réponse œcuménique », le Pasteur Olav Fykse Tveit, Secrétaire général du COE, a déclaré que la meilleure façon de marquer le drame que représentent les 50 ans d'occupation est d'écouter attentivement les témoins de l'espérance qui vivent sous occupation et qui en subissent les lourdes conséquences dans leur vie quotidienne.
Cent ans après la déclaration Balfour et cinquante ans après le début de l’occupation israélienne des Territoires palestiniens conquis durant la guerre de 1967, le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) a déploré la constante incapacité des parties à rechercher une paix juste, observant que cette incapacité à résoudre la situation «entache également de manière indélébile la conscience des membres de la communauté internationale».
La communion et l’unité ressenties par les disciples de Jésus qui priaient ensemble alors que la peur régnait à Jérusalem au moment de la Pentecôte «ont marqué un nouveau début» pour la mission de l’Église, a rappelé le secrétaire général du COE, en Terre Sainte, aux chrétiens du monde entier.
Le COE appelle les chrétiens du monde entier à s’unir dans la prière pour une paix juste en Terre Sainte en participant au service de prière de la Pentecôte..
«Vous pouvez m’appeler par mon nom ou par mon prénom», plaisante-t-il en se présentant. Homme enjoué et passionné par le dialogue, la paix et la réconciliation, Zoughbi Zoughbi considère son travail comme «un mode de vie, ou un engagement, plutôt qu’une activité».
Le Programme œcuménique d’accompagnement en Palestine et en Israël (EAPPI) a été lancé par le COE en 2002 en réponse à l’appel des responsables des Églises locales à créer une présence internationale dans ce pays. À ce jour, plus de 1 800 accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques se sont efforcés de créer les conditions d’une paix juste.
Aujourd’hui, le Conseil œcuménique des Églises (COE) s’est déclaré très préoccupé par une nouvelle loi adoptée lundi par la Knesset qui interdirait l’octroi de visas d’entrée aux ressortissants étrangers ayant appelé à un boycott économique, culturel ou universitaire d’Israël ou des colonies israéliennes dans les territoires palestiniens occupés. Il semblerait que la «Loi sur l’entrée en Israël» (Refus de visas aux non-résidents ayant sciemment appelé au boycott d’Israël) ne fasse aucune distinction entre le boycott d’Israël à proprement parler et celui des produits des colonies qui sont généralement considérés comme illégaux par le droit international.
Le 19 février, 170 personnes environ se sont rassemblées pour prier à Jérusalem, lors de la cinquième «Jewish Week of Constructive Conflict», la Semaine juive du conflit constructif, qui a lieu tous les ans.