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Séminaire sur la façon dont les Églises peuvent relever les défis des objectifs de développement durable

Un séminaire à Chiang Mai, en Thaïlande, intitulé «Diaconie œcuménique, la réponse des Églises aux objectifs de développement durable en Asie», se tient du 24 au 26 octobre. Organisé conjointement par le Conseil œcuménique des Églises (COE) et la Conférence chrétienne d’Asie, le séminaire est le troisième d’une série de huit qui se déroulent en Asie, en Afrique et dans le Pacifique.

Répondre aux besoins humanitaires en Ukraine

Lorsque la Russie a lancé son invasion à grande échelle de l’Ukraine le 24 février 2022, cela faisait déjà huit ans que les Églises répondaient aux besoins humanitaires du pays, depuis l’annexion de la Crimée en 2014. L’action des Églises pour répondre aux besoins des personnes déplacées par la guerre ne date pas d’hier, mais leur ampleur est sans commune mesure face aux 14 millions de personnes déplacées au cours des six derniers mois, depuis le début de l’invasion.

Le COE exhorte le patriarche Cyrille à «intervenir et à demander publiquement un cessez-le-feu lors du service de la Résurrection»

Dans une lettre à S. S. le patriarche Cyrille de Moscou et de toute la Russie le 19 avril, le père Ioan Sauca, secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE) a exhorté le patriarche Cyrille à «intervenir et à demander publiquement un cessez-le-feu au moins pendant quelques heures lors du service de la Résurrection.»

Le secrétaire général par intérim du COE répond à la première dame d'Ukraine : « Je prie pour que la paix prévale et que la guerre s'arrête »

En réponse à une lettre de la première dame d'Ukraine, Olena Zelenska, le père Ioan Sauca, secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), a exprimé à la fois sa reconnaissance pour ses réflexions franches, et sa douleur face aux conséquences humanitaires du conflit qui ne cessent de s’aggraver.

L’unité est essentielle face aux nouveaux défis de la crise sanitaire en Asie

La pandémie de COVID-19 s’éloigne peu à peu, mais ses profondes répercussions sur la vie des populations, elles, persistent à travers l’Asie et dans le reste du monde. Aux souffrances et pertes tragiques de vies humaines imputées au virus viennent s’ajouter l’isolement social, la récession économique, la flambée du chômage et la hausse de la pauvreté qui minent les espoirs d’un avenir meilleur.

Un colloque œcuménique de réflexion théologique sur l’écologie

Un colloque en ligne de trois jours, du 11 au 13 février, organisé par le Conseil œcuménique des Églises (COE) et le Séminaire œcuménique et francophone de théologie de l’écologie, a rassemblé des personnalités autour du thème «Penser les relations écologiques à l’ère de l’anthropocène».

Les Églises doivent user de leur voix sur la question des changements climatiques

Alors qu’elle se réunit cette semaine à Brisbane, en Australie, la Commission des Églises pour les affaires internationales du Conseil œcuménique des Églises (COE) a été informée des conséquences durables pour les îles du Pacifique des cinquante années d’essais nucléaires dans la région, devenue l’une des zones du monde les plus sensibles aux changements climatiques.

La réponse des Églises aux feux de brousse est mûrement préparée

Les quelques jours de faible pluie ont apporté un peu de soulagement à celles et ceux qui luttent contre les feux de brousse meurtriers dans tout le sud-est de l’Australie. Cela n’empêche pas les pompiers, résident-e-s et autres intervenant-e-s de continuer à rassembler leurs forces et à se préparer à de nouveaux ravages.

Le COE condamne le massacre de fermiers aux Philippines

Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a condamné le massacre de 14 fermiers commis par des agents de police début avril à Canlaon, Manjuyod et Santa Catalina, trois villes de la province du Negros Oriental, aux Philippines. Le COE a également réitéré l’appel qu’il avait lancé au gouvernement des Philippines pour faire cesser la culture d’impunité et garantir que ces assassinats fassent l’objet d’enquêtes en bonne et due forme à l’issue desquelles les auteurs des faits seront traduits en justice.

Alors que débute la campagne 2019 des Sept semaines pour l'eau, gardons à l'esprit que la rareté de l'eau n'est pas un «acte de Dieu»

«Ce n'est pas la volonté de Dieu que la Terre soit détruite. Nous, les créatures, nous qui sommes censés être les intendants de la création, nous rendons injustement coupables d'actes autodestructeurs», a écrit dans sa prédication le pasteur Arnold C. Temple, président de la Conférence des Églises de toute l'Afrique. Un texte prononcé en son absence lors du lancement de la campagne des Sept semaines pour l'eau à Chiang Mai (Thaïlande).