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Une délégation du Conseil œcuménique des Églises et de l’Alliance ACT est en Turquie cette semaine pour faire part de la solidarité et du soutien des Églises sur le terrain afin de répondre aux besoins immenses au lendemain du séisme du 6 février.

Le 12 avril prochain, le Conseil œcuménique des Églises (COE) co-organisera une consultation en ligne visant à aborder la question urgente de la convergence des crises alimentaire et de la dette. Cet événement permettra aux Églises, aux partenaires œcuméniques, et aux alliés de la société civile, de se réunir afin d’examiner les intersections et les racines de ces crises, et de réfléchir collectivement à d’éventuelles réponses communes.

Le 5 mai, un webinaire commémorera les victimes de l’esclavage et du commerce triangulaire, en mettant l’accent sur l’Europe.

Un webinaire organisé le 25 avril évoquera les obstacles, les opportunités et les stratégies dans la lutte contre le racisme, la xénophobie et la discrimination raciale au sein de l’Église et dans le monde.

Dans le cadre des débats de la 52e session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies sur les droits humains et la fistule obstétricale, le Conseil œcuménique des Églises (COE) et ses partenaires œcuméniques ont appelé les gouvernements à porter une plus grande attention à la prévention de la fistule obstétricale dans leurs politiques, leurs plans stratégiques et leurs budgets.

Le pasteur Jerry Pillay, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE) a commenté la synthèse du sixième rapport d’évaluation sur le climat du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, publié le 20 mars.

Les sanctions ne devraient pas nuire au soutien en faveur des plus vulnérables: c’est le message contenu dans un rapport sur l’impact des sanctions sur le travail humanitaire présenté lors d’un événement parallèle à la 52e session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies à Genève le 10 mars.

Près de deux semaines se sont écoulées depuis le séisme qui a ravagé le nord de la Syrie et la Turquie le 6 février, ôtant la vie à plus de 41 000 personnes. Des milliers de bâtiments se sont également effondrés. Dans plusieurs villes comme Alep, Hama et Lattaquié, plus de 115 écoles ont été détruites.

Des groupes humanitaires et d’inspiration religieuse du monde entier ont lancé des appels à l’aide et à la prière tandis que les interventions s’intensifiaient au lendemain du séisme dévastateur qui a frappé la Syrie et la Turquie le 6 février.

Alors que les communautés en Turquie et en Syrie sont ébranlées par le tremblement de terre qui a emporté au moins 4 300 vies – chiffre qui ne cesse d’augmenter – les Églises ont pris contact avec les personnes touchées et prient pour la sécurité des disparu-e-s.

Plus de 600 personnes ont assisté au Neuvième symposium annuel sur le Rôle de la religion et des organisations confessionnelles dans les affaires internationales qui s’est déroulé en ligne le 24 janvier. Ce symposium, qui avait pour thème «Assurer le bien-être des populations et la durabilité planétaire», était organisé par le Conseil œcuménique des Églises (COE) et une coalition de partenaires confessionnels et des Nations unies. Des responsables des Nations unies, des représentant-e-s d’organisations confessionnelles internationales et d’autres experts sur les changements climatiques, le désarmement et d’autres sujets essentiels y ont pris part.

Le Conseil œcuménique des Églises et ses partenaires ont coorganisé un événement parallèle à la COP27 sur le thème «Une promesse à tenir: s’assurer de répondre aux besoins en adaptation actuels et à venir». 

Lors d’une prière œcuménique, des personnes de nombreuses confessions se sont réunies pendant la COP27 pour se confesser, exprimer leur déploration et formuler leur espoir en l’avenir. 

Dans une déclaration sur la COP27, le Conseil œcuménique des Églises (COE) souligne que des communautés et des nations sont déjà aux prises avec les impacts catastrophiques des changements climatiques; or, leurs appels urgents ne sont pas entendus par les autres membres de la communauté internationale.

À la veille de l’ouverture officielle de la Conférence des Parties des Nations Unies sur les changements climatiques (COP27) à Sharm el-Sheikh, en Égypte, des représentants et des représentantes de différentes religions se sont réuni-e-s à Qesm Sharm Ash Sheikh, la Cathédrale céleste, qui accueille les fidèles de l’Église copte orthodoxe, pour partager leurs points de vue sur la crise climatique.

Le Conseil œcuménique des Églises s’est associé à d’autres organisations internationales d’inspiration religieuse pour envoyer une lettre aux dirigeants du G20. Ensemble, ils appellent de leurs vœux un système économique attaché au bien-être de tous.

Une délégation du Conseil œcuménique des Églises (COE) composée de mandataires de plusieurs de ses Églises membres et organisations partenaires se rend au sommet sur les changements climatiques (COP27) qui se déroule en Égypte pour faire entendre les témoignages, les expériences et les points de vue des populations les plus touchées.