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L’urgence climatique provoque d’ores et déjà une grave insécurité alimentaire à l’échelle mondiale. Tel est le message entendu par les membres du Comité central du Conseil œcuménique des Églises (COE) lors de la séance plénière du 23 juin. Ils et elles ont ensuite précisé que la justice climatique était un sujet qui relève en même temps de la foi et de l’action.

Le Conseil œcuménique des Églises (COE), en collaboration avec la Fédération luthérienne mondiale (FLM), Soka Gakkai International et Brahma Kumaris, a organisé une manifestation parallèle intitulée «Concrétiser l’action climatique: soutenir un Bilan mondial robuste axé sur les droits humains et éthique» le 5 juin à Bonn, en Allemagne. L’événement a rassemblé des expert-e-s et parties prenantes dans le but de mettre l’accent sur l’importance d’intégrer les droits humains, les considérations éthiques et la justice climatique dans le prochain processus du Bilan mondial.

Le 22 mai, à l’occasion de la Journée internationale des Nations Unies sur la biodiversité, le Conseil œcuménique des Églises (COE) a coorganisé une conférence hybride sur le rôle de la religion et de la société civile dans la protection de la biodiversité.

L’aggravation de la crise alimentaire mondiale est au cœur d’une déclaration du Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE) exhortant les Églises et la communauté internationale à agir dès maintenant avant que davantage de personnes ne perdent la vie.

Alors que le Pape François fait passer un message en préparation de la Journée mondiale de prière pour la sauvegarde de la Création, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), Jerry Pillay, a fait part de réflexions appuyant le message centré sur la thématique «Que la justice et la paix se répandent».

«La justice fiscale est une question de foi», déclare Suzanne Matale. «La foi permet [à tous et à toutes] d’avoir la vie en abondance. Les personnes ordinaires ont le droit d’être informées et de participer aux prises de décision qui touchent à notre dignité donnée par Dieu».

Un séminaire d’une journée organisé le 12 mai et intitulé «Prendre soin de la terre, transformer des vies: lier la foi et la régénération naturelle» a rassemblé des participant-e-s en personne et en ligne pour faire germer des idées et reverdir notre planète.

Ellyanne Chlystun-Githae Wanjiku, 13 ans, originaire du Kenya, a lancé un appel retentissant le 9 mai, à l’occasion d’un webinaire sur la responsabilité des banques pour le climat: «les enfants n’ont pas peur de suivre la trace de l’argent» a-t-elle affirmé, et cela passe par des efforts pour se renseigner sur les activités bancaires responsables et pour influencer les politiques.

L’appel mondial à la prière et à l’aide pour la République démocratique du Congo s’est fait plus pressant face aux inondations et glissements de terrain qui ont emporté des centaines de vies au Sud-Kivu, une province à l’est du pays.

Au Rwanda, les responsables d’Église pleurent la disparition de 130 personnes après les inondations massives qui ont frappé plusieurs districts de ce minuscule pays d’Afrique de l’Est.

Le 12 mai, un séminaire d’une journée proposé dans un format hybride permettra aux Églises et aux communautés confessionnelles d’agir plus efficacement face à la dégradation de l’environnement et au changement climatique.

Le séminaire de renforcement des capacités qui s’est tenu à Nairobi du 17 au 21 avril s’est centré sur le leadership, la diaconie et le développement pour les Églises en Afrique. 

Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a coorganisé un événement parallèle lors du Forum politique de la société civile des réunions de printemps du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale à Washington, D.C. Les participantes et les participants ont partagé les perspectives clés de la société civile sur la réforme des institutions financières internationales, l’Initiative de Bridgetown, et le financement des efforts climatiques.

Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a organisé un webinaire le 19 avril pour identifier des idées permettant d’éradiquer la stigmatisation et la discrimination liées au VIH et de faire valoir la justice pour les personnes vulnérables.