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Le COE participe à la 71e Assemblée mondiale de la santé

Le Conseil œcuménique des Églises (COE), un acteur non étatique aux côtés de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a participé à la 71e Assemblée mondiale de la santé (AMS). Cette année marque le 40e anniversaire de la Déclaration d'Alma-Ata sur les soins de santé primaires (SSP), dont le COE fut l’un des artisans.

L’élaboration de la stratégie œcuménique mondiale pour la santé du COE commencera au Lesotho

«Alors que les Objectifs de développement durable viennent d’entrer en vigueur, le Conseil œcuménique des Églises (COE) estime qu’il est temps pour l’Église de réaffirmer son rôle de leader en matière de santé au niveau mondial, rôle qu’elle a joué pendant des siècles, et de consolider les efforts visant à atteindre la santé et la guérison pour tous», affirme M. Mwai Makoka, responsable pour le programme de santé et guérison du COE.

Kenya: un rassemblement pour éliminer la stigmatisation liée au VIH à travers l’amour et le dialogue

Plus de 120 responsables religieux et spirituels, travailleurs sanitaires et jeunes gens se sont réunis les 7 et 8 février derniers pour mettre l’accent sur le renforcement du combat mené contre la stigmatisation au titre de la riposte au VIH au Kenya. Des représentants du gouvernement kényan, d’organisations de la société civile, de réseaux de personnes vivant avec le VIH, ainsi que des partenaires de développement se sont joints à eux dans le cadre d’un événement à Nairobi. Axée sur le thème «Faith on the Fast Track: Eliminating Stigma and Discrimination Through Love and Dialogue» (La foi pour accélérer la riposte: éliminer la stigmatisation et la discrimination par l’amour et le dialogue), la réunion visait à évaluer l’impact de la méthodologie du «Framework for Dialogue» (Cadre pour le dialogue), une initiative mise en œuvre dans plusieurs pays depuis 2013. L’événement était organisé par INERELA+ Kenya (le Réseau international des responsables religieux vivant avec ou affectés par le VIH, Kenya) et l’EAA-COE (l’Alliance œcuménique «agir ensemble» du Conseil œcuménique des Églises), avec notamment l’appui du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA).

Un nouveau brevet pourrait améliorer le traitement de la tuberculose pour les personnes séropositives

L'Alliance œcuménique «agir ensemble» du Conseil œcuménique des Églises (COE-EAA) applaudit le premier accord de licence concernant la tuberculose, annoncé le 25 janvier dernier par la communauté de brevet sur les médicaments, Medicines Patent Pool, et l'Université Johns Hopkins. L'accord facilitera le développement clinique du sutezolide, un médicament potentiel contre la tuberculose. L'antibiotique sutezolide, en combinaison avec d'autres médicaments, pourrait être utilisé pour traiter plus efficacement la tuberculose, réactive et résistante aux médicaments.

Kenya: la voix des communautés religieuses est essentielle pour vaincre le VIH

«Existe-t-il un moyen d’agir contre la stigmatisation et la discrimination au sein des communautés religieuses, pour montrer l’exemple, afin que celles et ceux qui sont là pour rendre service et prodiguer des soins ne stigmatisent pas les personnes malades? Car lorsqu’il s’agit de lutter contre le VIH et le sida, peu importe que l’on soit chrétien ou musulman, femme ou homme, nous devons agir en tant qu’êtres humains.»

Les célébrités donnent un coup de projecteur sur l’épidémie de sida

Le prince Harry, Elton John, Charlize Theron, l’archevêque Thabo Makgoba, Bill Gates – des princes, des célébrités, des responsables religieux et des philanthropes se sont joints aux chercheurs, aux personnalités politiques, aux professionnels de la santé et aux militants – dont certains sont religieux – lors de la 21e Conférence internationale sur le sida à Durban.

AIDS 2016: «L’ostracisme tue plus de monde que le VIH»

Plus de 150 personnes ont assisté à la pré-conférence interconfessionnelle, qui s’est ouverte le 16 juillet à Durban. Elles ont ainsi pu s’informer sur les défis urgents que sont la réduction de l’ostracisme et de la discrimination, l’amélioration de l’accès aux services afférents au VIH et la défense des droits de l’homme, élément essentiel pour éradiquer le sida avant 2030. La maladie est une véritable menace pour la santé publique.

Une lettre pastorale du COE appelle à un nouvel engagement dans la lutte contre le VIH et le sida

Bien que de grands progrès aient été réalisés depuis la découverte du virus du sida il y a 35 ans, la maladie menace toujours une grande partie du monde. Actuellement, 21 millions de personnes n’ont pas d’accès à un traitement, et les maladies liées au sida sont maintenant la première cause de décès chez les adolescents en Afrique. Plus de deux millions de personnes supplémentaires sont infectées chaque année. Le monde est confronté à une catastrophe: six millions d'enfants devenus orphelins en raison du sida, et ce chiffre augmente.

Le COE observe la Journée mondiale de la santé, qui coïncide avec la publication du premier rapport mondial sur le diabète de l’OMS

La Journée mondiale de la santé, le 7 avril, est consacrée cette année au diabète. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de publier son premier rapport mondial sur le diabète, qui révèle que le nombre d’adultes diabétiques dans le monde a presque quadruplé depuis 1980: 422 millions de personnes sont concernées, soit 8,5 % de la population adulte mondiale.

Aux Philippines, un atelier forme des dirigeantes d’Église à une démarche œcuménique face au VIH

«Je suis venue ici pour apprendre la différence entre le VIH et le sida et pour distinguer le rôle spécifique des femmes, en particulier des pasteures, pour éduquer, responsabiliser et éclairer leurs ouailles à propos de leur conception du VIH», déclare la pasteure Mary Ann Kadile, de l’Église unie du Christ aux Philippines. Elle a fait le voyage de Mindanao à San Pablo City, dans la province de Laguna, pour participer à un atelier sur le VIH organisé par le Conseil national des Églises aux Philippines (NCCP).

Les Églises s’engagent dans la campagne All In! pour mettre fin au sida chez les adolescentes et adolescents

Les services de santé sexuelle et reproductive ne doivent pas seulement être «accueillants pour les jeunes» mais aussi «accueillants pour les garçons et les filles» et «ouverts à la participation» de la jeunesse, afin que les jeunes hommes et femmes aient accès aux services et informations dont ils ont besoin et qu’ils veulent obtenir – tel est le souhait exprimé par les adolescents et adolescentes qui ont participé à un atelier à Lomé (Togo) les 24 et 25 mars.

Vaincre la discrimination pour aborder la question du VIH au Zimbabwe

«La stigmatisation, la discrimination et le manque d’accès à l’information et de mesures préventives adéquates contribuent à la propagation du VIH et du sida», indique Samuel Matsikure, qui a participé en juillet dernier au Zimbabwe à un dialogue sur le VIH parrainé par les Initiatives et plaidoyer œcuméniques pour la lutte contre le VIH et le sida du COE.