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La délégation du COE en visite au Centre d’aide humanitaire à Moscou et à l’Académie théologique de Serguiev Possad

En déplacement à Moscou, la délégation du Conseil œcuménique des Églises (COE) s’est rendue au Centre d’aide humanitaire, une initiative ecclésiale lancée en mars 2022 après l’éclatement de la guerre en Ukraine. La plupart des réfugié-e-s ukrainien-ne-s qui arrivent à Moscou ont des ami-e-s ou des proches dans la capitale russe. Or, leurs besoins n’en demeurent pas moins importants. Chaque jour, ce sont près de 500 personnes qui se rendent au centre de réfugié-e-s. Au centre d’accueil des personnes réfugiées, ces dernières reçoivent des produits de première nécessité, des aliments de base, des produits d’hygiène personnelle et, si elles ont des enfants, le nécessaire pour eux. Nombreuses sont les personnes arrivant à ce centre d’accueil qui souffrent de troubles psychologiques et d’expériences traumatisantes. Un premier traitement leur est proposé avant de les référer à des professionnel-le-s.

Une soirée d’accueil et un pèlerinage historique le long du Rhin

Au cours d’une soirée musicale visant à raconter des témoignages, des artistes ont fait voyager le public venu du monde entier à travers l’Histoire. La soirée des Églises d’accueil qui s’est déroulée le 4 septembre, dans le cadre de la 11e Assemblée du Conseil œcuménique des Églises (COE), avait pour thème «Personne ne sera perdu: construire des ponts, vivre la réconciliation».

Répondre aux besoins humanitaires en Ukraine

Lorsque la Russie a lancé son invasion à grande échelle de l’Ukraine le 24 février 2022, cela faisait déjà huit ans que les Églises répondaient aux besoins humanitaires du pays, depuis l’annexion de la Crimée en 2014. L’action des Églises pour répondre aux besoins des personnes déplacées par la guerre ne date pas d’hier, mais leur ampleur est sans commune mesure face aux 14 millions de personnes déplacées au cours des six derniers mois, depuis le début de l’invasion.

La pasteure Angelique Walker-Smith, présidente du COE d’Amérique du Nord: «l’Assemblée nous a donné la motivation et le modèle nécessaire pour aller de l’avant»

Le 5 septembre, la 11e Assemblée du Conseil œcuménique des Églises (COE) a élu huit nouveaux et nouvelles président-e-s. Ci-dessous, la pasteure Angelique Walker-Smith, présidente du COE d’Amérique du Nord, nous fait part de ses réflexions sur son nouveau rôle et la manière dont les enseignements de l’Assemblée esquisseront la voie à suivre.

Le président du COE pour le Pacifique: «Nous partageons nos joies, nos peines, nos colères – et trouvons un socle commun»

Le 5 septembre, la 11e Assemblée du Conseil œcuménique des Églises (COE) a élu huit nouveaux et nouvelles président-e-s. Ci-dessous, le pasteur François Pihaatae, président du COE pour le Pacifique, nous fait part de ses réflexions sur son nouveau rôle et la manière dont les enseignements de l’Assemblée esquisseront la voie à suivre.

La plénière appelle le COE à vivre l’unité par la jeunesse, la réconciliation et l’amour mutuel

Les orateurs et oratrices invité-e-s à la plénière du 7 septembre de la 11e Assemblée du Conseil œcuménique des Églises (COE) sur le thème «Le lien de l’unité chrétienne et le témoignage commun des églises» ont partagé leurs réflexions sur l’unité, la mission et la réconciliation au sein de la communauté fraternelle et du mouvement œcuménique. Le thème de la plénière prévoyait une conversation sur les réalisations et les défis posés à l’unité et à la mission chrétienne depuis la 10e Assemblée du COE à Busan, ainsi que sur la responsabilité mutuelle des Églises et le témoignage de l’amour du Christ dans un monde en mutation, en se tournant vers l’avenir.

La présidente du COE pour la région Europe: «Je pense que les relations sont à l’origine de l’unité – le Christ devient visible lorsque sommes vraiment attentifs les uns aux autres.»

Le 5 septembre, la 11e Assemblée du Conseil œcuménique des Églises (COE) a élu huit nouveaux présidents. Dans l’entretien ci-dessous, la pasteure Susan Durber, présidente du COE pour la région Europe, réfléchit à son nouveau rôle et à la manière dont les connaissances acquises lors de l’Assemblée pourront être mises en application à l’avenir.

Uppsala 1968: c’était le temps des changements

Normalement, c’est l’Afrique qui aurait dû être choisie. La première Assemblée du Conseil œcuménique des Églises (COE) s’était tenue en Europe (Amsterdam), la deuxième en Amérique du Nord (Evanston, États-Unis) et la troisième en Asie (New Delhi). Il y avait tout lieu d’espérer que l’Afrique serait le prochain continent à accueillir le Conseil. Mais des questions se sont posées au regard des actes de violence et des conflits militaires qui faisaient rage en Afrique durant les années 1960, dans la région du Biafra (Nigeria), à Zanzibar (Érythrée), ou encore en Algérie, au Mozambique et en Rhodésie. C’est ainsi que la Quatrième Assemblée a opté pour la «sécurité» de l’Europe, à Uppsala (Suède). Ironie de l’histoire, les chars soviétiques entreraient dans Prague un mois après la clôture de l’Assemblée.

L’amour du Christ déplace et supprime les frontières – Photos de l’Institut mondial de théologie œcuménique (GETI) 2022

L’Institut mondial de théologie œcuménique (GETI) 2022, qui constitue le troisième évènement de formation théologique œcuménique mondial, a réuni une centaine de jeunes théologiens et théologiennes du monde entier pendant six semaines de partage et d’apprentissage œcuméniques intenses. Il s’est déroulé en deux phases: une première phase en ligne pendant quatre semaines, puis une phase en présentiel pendant deux semaines, dans le cadre de la 11e Assemblée du Conseil œcuménique des Églises (COE) qui s’est déroulée à Karlsruhe, en Allemagne.

Le COE publie une note sur les conséquences de la guerre au Haut-Karabakh en 2020

La 11e Assemblée du Conseil œcuménique des Églises (COE) a publié une note intitulée «Conséquences de la guerre au Haut-Karabakh en 2020», dans laquelle il réitère sa condamnation du recours aux armes chimiques et aux armes à sous-munition, la prise pour cible de civils, d’hôpitaux et d’infrastructures publiques, et tous les autres crimes de guerre, les décapitations, la torture et les autres atrocités observées lors du conflit.