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Frapper une femme, c’est comme frapper un rocher

Tandis que l’Afrique du Sud se débat avec une crise provoquée par les violences sexistes, le président Cyril Ramaphosa a convoqué l’ensemble du Parlement le 18 septembre pour une session extraordinaire. Le thème: comment créer une société dans laquelle les femmes se sentent non seulement en sécurité, mais bénéficient aussi des mêmes droits fondamentaux que les hommes? Prenant acte des 52 420 infractions sexuelles déclarées au cours du dernier exercice (et beaucoup n’ont pas été signalées), des centaines de milliers de Sud-Africaines et de Sud-Africains affichent leur ras-le-bol. Les Églises et les communautés religieuses occupent une place visible et audible dans cet appel au changement. Le mouvement va-t-il prendre de l’ampleur? Prendrons-nous position aux côtés des Sud-Africaines?

Mary-Anne Plaatjies van Huffel: «Nous repensons la théologie»

Mary-Anne Plaatjies-Van Huffel est la présidente du Conseil œcuménique des Églises (COE) pour l’Afrique. Pasteure et chercheuse sud-africaine, elle a été la première femme ordonnée pasteure de l’Église réformée hollandaise d’Afrique du Sud. Elle vient d’être nommée professeure titulaire d’histoire de l’Église et de droit ecclésial à l’université Stellenbosch.

L’Envoyé spécial du président indonésien visite le COE pour promouvoir le dialogue interreligieux

À l’occasion d’une rencontre avec Syafiq A. Mughni, l’Envoyé spécial du président d’Indonésie pour le dialogue et la coopération interreligieux et intercivilisationnels, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), Olav Fykse Tveit, s’est félicité de la promotion par l’Envoyé spécial des droits de la personne, et a souligné l’engagement du COE à coopérer dans la lutte contre la xénophobie et l’islamophobie. «Nous devons considérer les droits de la personne comme des principes universels», a déclaré Tveit. «Il est de notre devoir, en tant qu’êtres humains et aussi en tant que chrétiens, de lutter pour les droits de tous.»

Un vent de changement souffle sur la principale instance œcuménique d’Afrique

Un vent de changement souffle sur la Conférence des Églises de toute l’Afrique (CETA) avec la mise en œuvre d’un nouveau plan stratégique quinquennal.
Dans une ambitieuse feuille de route en six points, ce regroupement d’Églises protestantes, anglicanes, orthodoxes et autochtones a dévoilé des axes de travail totalement nouveaux en vue d’insuffler une énergie nouvelle aux programmes existants. Au cœur de la stratégie: l’efficacité, l’efficience et la fiabilité de l’instance œcuménique, soucieuse de s’acquitter de sa mission prophétique.

Comment l’Appel d’Arusha changera-t-il le monde?

L’Appel d’Arusha à vivre en disciples est à la fois exaltant, exigeant, et source de transformation, jusqu’à l’inconfort pour certain-e-s, selon les responsables de la Commission de mission et d’évangélisation (CME) du Conseil œcuménique des Églises (COE) à la conférence de presse et au lancement d’un ouvrage le 20 mai à Helsinki, en Finlande.

Le COE condamne le massacre de fermiers aux Philippines

Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a condamné le massacre de 14 fermiers commis par des agents de police début avril à Canlaon, Manjuyod et Santa Catalina, trois villes de la province du Negros Oriental, aux Philippines. Le COE a également réitéré l’appel qu’il avait lancé au gouvernement des Philippines pour faire cesser la culture d’impunité et garantir que ces assassinats fassent l’objet d’enquêtes en bonne et due forme à l’issue desquelles les auteurs des faits seront traduits en justice.