Les sanctions ne devraient pas nuire au soutien en faveur des plus vulnérables: c’est le message contenu dans un rapport sur l’impact des sanctions sur le travail humanitaire présenté lors d’un événement parallèle à la 52e session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies à Genève le 10 mars.
Le Conseil œcuménique des Églises (COE) propose des ressources, dont un modèle de lettre et des idées d’envoi, appelant le gouvernement israélien et les gouvernements du monde entier à garantir un accès sans entrave aux lieux saints de Jérusalem pendant les célébrations pascales à venir.
Le 7 mars, les participant-e-s à la réunion «Living Together» (Vivre ensemble) à Bagdad, représentant divers groupes religieux et ethniques du pays, se sont entretenu-e-s avec le président irakien, Son Excellence Abdullatif Jamal Rashid, pour lui faire part de leurs préoccupations et des difficultés posées à la diversité religieuse et ethnique en Irak.
Lors de l’ouverture de «Living Together», qui s’est déroulée à Bagdad le 6 mars, des responsables religieux et ethniques d’Irak ont célébré la diversité et abordé avec franchise les entraves à une citoyenneté inclusive. Des représentant-e-s des organes exécutifs et législatifs irakiens, des agences des Nations unies et de différentes ambassades ont également participé à cet événement.
Le 22 mars prochain, une prière pour la paix dans le monde rassemblera les fidèles chrétiens dans l’espoir d’un avenir meilleur. Un communiqué publié par le comité de planification de la prière explique que les chrétien-ne-s sont appelé-e-s à s’unir dans la prière et à défendre la paix. «Dans un contexte mondial pris d’assaut par la guerre et la violence, la pratique de la paix est devenue plus urgente que jamais», précise le texte.
Près de deux semaines se sont écoulées depuis le séisme qui a ravagé le nord de la Syrie et la Turquie le 6 février, ôtant la vie à plus de 41 000 personnes. Des milliers de bâtiments se sont également effondrés. Dans plusieurs villes comme Alep, Hama et Lattaquié, plus de 115 écoles ont été détruites.
Hanna Barag, une Israélienne qui se décrit comme une «diplomate des droits de la personne», observe depuis plusieurs décennies ce que subissent les Palestinien-ne-s qui passent par les points de contrôle. Pour cette membre de l’organisation Machsom Watch, en un mot, c’est «déshumanisant».
Des groupes humanitaires et d’inspiration religieuse du monde entier ont lancé des appels à l’aide et à la prière tandis que les interventions s’intensifiaient au lendemain du séisme dévastateur qui a frappé la Syrie et la Turquie le 6 février.
Au lendemain du violent séisme qui a frappé la Turquie et la Syrie, les Églises se mobilisent pour offrir prières et aide humanitaire tandis que les opérations de secours se poursuivent.
Après le terrible tremblement de terre qui a frappé la Turquie et la Syrie le 6 février dernier, les président-e-s du Conseil des Églises du Moyen-Orient ont convoqué une réunion d’urgence pour aborder la catastrophe et les moyens d’intervention.
Alors que les communautés en Turquie et en Syrie sont ébranlées par le tremblement de terre qui a emporté au moins 4 300 vies – chiffre qui ne cesse d’augmenter – les Églises ont pris contact avec les personnes touchées et prient pour la sécurité des disparu-e-s.
En 1919, Sir Ronald Henry Amherst Storrs, gouverneur militaire de Jérusalem à l’époque, y fait venir trois familles arméniennes — les familles Balian, Karakeshian et Ohanessian — pour rénover les carreaux datant du XVIe siècle du Dôme du Rocher sur l’esplanade des Mosquées.
Le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises, le pasteur Jerry Pillay, a uni sa voix à celle du diocèse épiscopal de Jérusalem et de toutes les Églises de Terre sainte pour condamner la profanation du cimetière protestant historique du mont Sion.
Le 16 décembre, lors de l’illumination de l’arbre de Noël du Nouvel Hôtel impérial, place Jaffa, Sa Béatitude Théophile III, Patriarche de Jérusalem, a fait part de ses réflexions sur la lumière, l’espoir et la réconciliation.
La jeune Samyah*, âgée de 26 ans, n’a pas de carte d’identité palestinienne ni israélienne. Née en Cisjordanie, elle détenait une carte d’identité de Jérusalem du nom de son père qui a été révoquée. Elle a appris la révocation à l’âge de 16 ans, alors qu’elle pensait pouvoir partir en voyage scolaire en Suisse. Ce ne fut pas le cas. Depuis, Samyah et sa famille luttent pour qu’elle obtienne une nouvelle carte d’identité de Jérusalem.
Alors que les fidèles chrétiens du monde entier sont entrés dans la période de l’Avent, les préparatifs vont bon train où tout a commencé, à Bethléem, pour célébrer cette histoire singulière au cœur de toutes les traditions chrétiennes.
Le 24 novembre, le président palestinien Mahmoud Abbas a officiellement reçu le secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), le père Ioan Sauca, pour une réunion visant à discuter de la paix juste en Palestine et en Israël.
Un service d’action de grâce pour l’œuvre et la vie de Théophile III de Jérusalem a eu lieu le 22 novembre en l’église du Saint-Sépulcre pour commémorer le 17e anniversaire de l’intronisation du patriarche.
Le Comité consultatif de liaison du COE à Jérusalem s’est réuni pour la première fois à Jérusalem sous la conduite du secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), le père prof. Ioan Sauca, pour préparer l’avenir.