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Le COE-EAPPI relocalise ses participant-e-s et adapte ses activités au nouveau contexte de guerre

À la suite des affrontements qui ont éclaté le 7 octobre, avec des milliers de roquettes qui auraient été lancées de Gaza sur Israël, une incursion d’hommes armés du Hamas au sud d’Israël et la réaction militaire israélienne qui s’ensuivit, le Conseil œcuménique des Églises (COE) adapte ses activités en Terre sainte pour pérenniser son soutien aux efforts en faveur d’une paix juste.

Le COE commémore le 75e anniversaire d’«Al-Nakba»

À l’occasion des commémorations du 75e anniversaire de ce que les Palestinien-ne-s appellent la Nakba, «la catastrophe», le déracinement de centaines de milliers de personnes à la création d’Israël en 1948, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, a exprimé sa solidarité avec les Églises membres en Terre sainte.

Les accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques aident les populations à se sentir plus en sécurité en Palestine et en Israël

«Les militaires sont parti-e-s parce que vous regardiez.»

«Je peux faire paître mon troupeau près de la base militaire parce que je me sens en sécurité en présence des accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques, et les colons me harcèlent moins quand vous êtes ici, à proximité.»

«Nous nous sentons en sécurité en présence des accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques.»

Le COE réitère son « appel constant à la fin de l'occupation et à l'égalité des droits humains pour tous » en Terre Sainte.

Dans une déclaration publique à propos de la Terre Sainte, le Comité central du COE a exprimé « sa profonde solidarité avec tous les habitants de la région, en particulier avec les Églises et les chrétiens de la région dans leur vie et leur travail, en gardant la foi chrétienne et le témoignage en Terre Sainte vivants et dynamiques ».

Le COE réclame la liberté d’accès aux lieux de culte en Terre Sainte et la préservation du statu quo de Jérusalem

Dans une déclaration publiée le 11 avril, le Patriarcat orthodoxe de Jérusalem a fait part de ses vives inquiétudes quant aux restrictions policières annoncées pour le samedi de la sainte Lumière. Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a réagi à cette déclaration en condamnant fermement les mesures qui limitent l’accès aux lieux de culte, les qualifiant d’atteintes à la liberté religieuse en Terre Sainte.

Initiative de Pâques pour souligner le caractère sacré de Jérusalem ainsi que les obstacles à la paix

Alors que les chrétiens du monde entier se préparent à célébrer Pâques, les grandes fêtes pour les musulmans et les juifs - Ramadan et Pessa’h - sont également célébrées à la même période en 2022. À cette confluence de célébrations sacrées, le caractère sacré de Jérusalem est particulièrement évident pour les habitants et les visiteurs. Mais le caractère sacré de la Ville Sainte et de ses habitants est de plus en plus menacé par les conséquences de l’occupation en cours, telles que la discrimination et la violence.

À Silwan, Jérusalem, "nous souhaitons la justice pour tous"

Le témoignage qui suit fait partie d'une série qui inaugure l'Initiative de Pâques de cette année et offrira un aperçu de la vie quotidienne des Palestiniens, musulmans et chrétiens, vivant à Jérusalem et dans ses environs, de certains des défis auxquels ils sont confrontés et de ce qui leur donne de l'espoir. Le concept de sacralité sous-tend ces témoignages. Ci-dessous, le récit de Yacoub Rajabi parle du caractère sacré de la dignité humaine - et du caractère sacré de la vie tout simplement.

Sheikh Maher Assaf: garantir l’accès aux lieux saints de Jérusalem à tous et toutes

Ce reportage fait partie d’une série de témoignages recueillis dans le cadre de l’initiative de Pâques de cette année qui donne un aperçu du quotidien des personnes palestiniennes, musulmanes et chrétiennes à Jérusalem et dans les environs, des difficultés auxquelles elles sont confrontées et de ce qui leur donne espoir. Le sacré est au cœur de ces récits. Le récit ci-après est celui de Sheikh Maher Assaf, à Bethléem, qui nous parle du caractère sacré du culte et de l’importance de la liberté de religion pour garantir la paix.