La communauté fraternelle mondiale, par la voix du secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises, le pasteur Jerry Pillay, exprime de vives inquiétudes face à la récente escalade de la violence au Moyen-Orient dans le sillage de la première confrontation directe entre l’Iran et Israël.
Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a publié de nouveaux supports en ligne dans le cadre de l’Initiative de Pâques 2024: «Sortir des ténèbres — en solidarité pascale avec la Terre Sainte».
Le temps qui s’est écoulé depuis le 7 octobre 2023 a été décrit de bien des manières – et les propos de Robi Damelin constituent «une vraie mise à l’épreuve de vos systèmes de croyances».
Alors qu’une année de conflit exceptionnel et croissant touche à sa fin et que nous prions pour la paix pour toutes et tous en 2024, «cette perspective semble particulièrement lointaine pour la population de Gaza, en souffrance et traumatisée», a déclaré le pasteur Jerry Pillay, secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE).
Le Comité exécutif du Conseil œcuménique des Églises (COE), réuni du 8 au 14 novembre à Abuja, au Nigeria, a publié une déclaration exigeant un cessez-le-feu immédiat et l’ouverture de couloirs humanitaires en Palestine et en Israël.
À la suite des affrontements qui ont éclaté le 7 octobre, avec des milliers de roquettes qui auraient été lancées de Gaza sur Israël, une incursion d’hommes armés du Hamas au sud d’Israël et la réaction militaire israélienne qui s’ensuivit, le Conseil œcuménique des Églises (COE) adapte ses activités en Terre sainte pour pérenniser son soutien aux efforts en faveur d’une paix juste.
Des ressources, réflexions, prières et autres textes sont désormais disponibles pour aider les Églises et toutes les personnes de bonnes volontés à célébrer la Semaine mondiale pour la paix en Palestine et Israël, du 16 au 23 septembre 2023.
À l’occasion des commémorations du 75e anniversaire de ce que les Palestinien-ne-s appellent la Nakba, «la catastrophe», le déracinement de centaines de milliers de personnes à la création d’Israël en 1948, le secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), le pasteur Jerry Pillay, a exprimé sa solidarité avec les Églises membres en Terre sainte.
«Les militaires sont parti-e-s parce que vous regardiez.»
«Je peux faire paître mon troupeau près de la base militaire parce que je me sens en sécurité en présence des accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques, et les colons me harcèlent moins quand vous êtes ici, à proximité.»
«Nous nous sentons en sécurité en présence des accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques.»
Le Conseil œcuménique des Églises (COE) a publié une feuille d’information sur les démolitions dans Jérusalem-Est servant de source d’informations fiables pour les Églises membres du COE, les accompagnateurs et accompagnatrices œcuméniques et les médias.
Le 22 mars prochain, une prière pour la paix dans le monde rassemblera les fidèles chrétiens dans l’espoir d’un avenir meilleur. Un communiqué publié par le comité de planification de la prière explique que les chrétien-ne-s sont appelé-e-s à s’unir dans la prière et à défendre la paix. «Dans un contexte mondial pris d’assaut par la guerre et la violence, la pratique de la paix est devenue plus urgente que jamais», précise le texte.
Hanna Barag, une Israélienne qui se décrit comme une «diplomate des droits de la personne», observe depuis plusieurs décennies ce que subissent les Palestinien-ne-s qui passent par les points de contrôle. Pour cette membre de l’organisation Machsom Watch, en un mot, c’est «déshumanisant».
Alors que les fidèles chrétiens du monde entier sont entrés dans la période de l’Avent, les préparatifs vont bon train où tout a commencé, à Bethléem, pour célébrer cette histoire singulière au cœur de toutes les traditions chrétiennes.
Le 24 novembre, le président palestinien Mahmoud Abbas a officiellement reçu le secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), le père Ioan Sauca, pour une réunion visant à discuter de la paix juste en Palestine et en Israël.
Le Comité consultatif de liaison du COE à Jérusalem s’est réuni pour la première fois à Jérusalem sous la conduite du secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises (COE), le père prof. Ioan Sauca, pour préparer l’avenir.
Le secrétaire général par intérim du Conseil œcuménique des Églises, le père Ioan Sauca, a lancé un appel urgent à la fin de la violence à Jérusalem, après que, le 14 août, huit personnes ont été blessées dans une fusillade visant un bus.
Une délégation du Conseil œcuménique des Églises (COE) s’est rendue à Jérusalem et en Cisjordanie du 14 au 17 juillet. Conduite par le père Ioan Sauca, secrétaire général par intérim du COE, elle a rencontré les patriarches et les responsables des communautés chrétiennes, mais aussi des membres du clergé local et des fidèles.
Le jeune Abu El Walid Dajani, six ans, est venu prêter main-forte à son père dans la gestion du New Imperial Hotel près de la porte de Jaffa, à Jérusalem. La bâtisse historique, propriété du Patriarcat orthodoxe grec, est louée depuis avant 1967 à la famille Dajani pour assurer la gestion de l’hôtel. M. Dajani, aujourd’hui âgé de 77 ans, en est devenu le directeur. Or, la menace d’expulsion bouleverse le mode de vie que la famille a connu depuis des générations.
Depuis l’élection à la mi-juin du pasteur Jerry Pillay au poste de secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises (COE), des préoccupations ont été exprimées, principalement dans les médias juifs, au sujet de sa position sur Israël et sur les communautés juives et leur foi.
Dans une déclaration publique à propos de la Terre Sainte, le Comité central du COE a exprimé « sa profonde solidarité avec tous les habitants de la région, en particulier avec les Églises et les chrétiens de la région dans leur vie et leur travail, en gardant la foi chrétienne et le témoignage en Terre Sainte vivants et dynamiques ».