Les présidents ont rappelé que l’Église s’engage à apporter la bonne nouvelle à ceux qui souffrent le plus des conflits armés, des effets néfastes de l’ambition économique tout au long de cette période de pandémie et des ravages épouvantables que nous avons causés à la planète.
«Les Actes 1 et 2 racontent qu’à Jérusalem, les apôtres ont reçu la promesse de la puissance d’être les témoins du Saint-Esprit, qui les a encouragés à apporter la bonne nouvelle jusqu’aux extrémités de la terre», indique le message. «Ces avancées géographiques dans l’évangélisation ne sont rapportées qu’à partir de l’Acte 8: non pas par la bouche des apôtres, mais par Philippe, un diacre.»
C’est suite à la persécution contre l’Église que cela se produit, poursuivent les auteurs du message.
«Dans les Actes, l’Esprit Saint apporte de nouveaux dons, de nouvelles façons d’évangéliser, de nouveaux lieux à atteindre, de nouvelles façons de vivre et des voies pour atteindre ceux qui ont subi des discriminations; il prend des vies vécues au service de la persécution et de la mort et les transforme en vies au service du nom du Christ et de sa bonne nouvelle; il donne la capacité de faire face aux pouvoirs politiques, militaires et économiques», toujours selon le message. «L’Église a compris la nécessité de construire des espaces sûrs et de sauver ainsi des vies.»
Le message se conclut sur une prière pour que l’élan de cet Esprit continue à nous pousser dans cette direction: «Qu’il continue à mettre des paroles de vie éternelle dans la bouche de l’Église. Que sa créativité se manifeste à travers ses actions inattendues et que, par son souffle de vie, il nous emmène où il le souhaite.»