Mostrando 1 - 10 de 10

“Los migrantes no son misiles, son personas”, dice el secretario general del CMI en respuesta a la crisis en la frontera grecoturca

“Los migrantes no son misiles, son personas”, dice el secretario general del CMI en respuesta a la crisis en la frontera grecoturca
Tras el acuerdo alcanzado entre la Unión Europea y Turquía en marzo de 2016, Turquía ha estado tomando medidas para evitar que los migrantes –muchos de los cuales huyen del conflicto en Siria– lleguen a la Unión Europea, a cambio de ayudas europeas para los migrantes y los refugiados, y una relajación de los requisitos para la obtención de visados de la Unión Europea para los ciudadanos turcos. El viernes 28 de febrero, después de bajas militares en el noroeste de Siria, donde Turquía ha estado intentando crear una zona segura para reasentar a millones de refugiados sirios y servir a los intereses turcos contra los kurdos, esas medidas fueron suspendidas, lo que resultó en que un gran número de personas intentaran cruzar a Grecia y se produjeran los consiguientes enfrentamientos con las fuerzas de seguridad griegas.

«Les migrant-e-s ne sont pas des missiles, mais des personnes», déclare le secrétaire général du COE en réponse à la crise à la frontière gréco-turque

Après qu’un accord a été trouvé entre l’Union européenne et la Turquie en mars 2016, la Turquie a pris des mesures visant à empêcher les migrant-e-s, qui fuient en nombre le conflit syrien, d’atteindre l’UE en contrepartie d’une assistance européenne destinée aux personnes migrantes et réfugiées, et d’un assouplissement des critères d’obtention de visas européens pour ses ressortissant-e-s. Le vendredi 28 février, après avoir accusé des pertes militaires au nord-ouest de la Syrie, où la Turquie a tenté de créer une zone sécurisée pour y réinstaller des millions de réfugié-e-s syrien-ne-s et servir ses intérêts contre les Kurdes, ces mesures ont été suspendues, provoquant l’arrivée massive de personnes qui tentent de franchir la frontière grecque et le déclenchement d’affrontements avec les forces de sécurité grecques.

Las iglesias africanas se comprometen a trabajar para erradicar la apatridia

“La apatridia hace que la vulnerabilidad de las personas a los abusos y la denegación de sus derechos sea invisible para las autoridades nacionales. En este sentido, el derecho a una nacionalidad es primordial para el acceso a la protección de todos los otros derechos humanos, se trata casi de un ‘derecho a tener derechos’”, dijo Peter Prove, director de la Comisión de las Iglesias sobre Asuntos Internacionales del CMI, tras un taller regional de capacitación sobre el registro de nacimientos y las leyes de nacionalidad discriminatorias por motivos de género en África, organizado por el CMI en Addis Abeba (Etiopía) del 11 al 13 de mayo.

Les Églises africaines s’engagent à lutter contre l’apatridie

«L’apatridie rend invisible aux yeux des autorités nationales la vulnérabilité des personnes face aux abus ou à la négation de leurs droits. En cela, le droit à une nationalité est un enjeu fondamental pour l’accès à la protection de tous les autres droits humains. Il s’agit presque d’un "droit d’avoir des droits"», a déclaré Peter Prove, directeur de la Commission des Églises pour les affaires internationales du COE, après un atelier régional de formation traitant de l’enregistrement des naissances et des lois sur la nationalité qui entraînent une discrimination en fonction du sexe. Cet atelier était organisé par le COE à Addis-Abeba (Éthiopie) du 11 au 13 mai.

Des responsables religieux appellent à la protection des personnes déplacées

Aux côtés d'autres organisations d'inspiration religieuse, le Conseil œcuménique des Églises a contribué à la rédaction d'une déclaration publiée par l'agence de l'ONU pour les réfugiés. Cette déclaration vise à renforcer la protection des réfugiés et des personnes déplacées et apatrides, qui représentent plus de 40 millions d'individus dans le monde.