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Eine 26-Jährige in Jerusalem sagt „ohne einen Personalausweis verlor ich mein Recht auf ein normales Leben“

Die 26 Jahre alte Samyah* hat keinen Personalausweis – weder einen israelischen noch einen palästinensischen. Geboren im Westjordanland, hatte sie früher einen Jerusalemer Ausweis, weil ihr Vater dort lebte. Diese ID-Karte wurde ihr jedoch entzogen. Dass sie das Recht auf diese ID-Karte verloren hatte, erfuhr sie erst mit 16, als sie dachte, sie hätte die Möglichkeit, mit ihrer Schule in die Schweiz zu reisen. So konnte sie an dieser Klassenfahrt nicht teilnehmen. Seither kämpfen Samyah und ihre Familie darum, den Jerusalemer Ausweis wiederzuerlangen.

Privée de carte d’identité à Jérusalem, Samyah, 26 ans, déclare: «j’ai perdu mon droit à mener une vie normale»

La jeune Samyah*, âgée de 26 ans, n’a pas de carte d’identité palestinienne ni israélienne. Née en Cisjordanie, elle détenait une carte d’identité de Jérusalem du nom de son père qui a été révoquée. Elle a appris la révocation à l’âge de 16 ans, alors qu’elle pensait pouvoir partir en voyage scolaire en Suisse. Ce ne fut pas le cas. Depuis, Samyah et sa famille luttent pour qu’elle obtienne une nouvelle carte d’identité de Jérusalem.

APPARTENANCE - AFFIRMATIONS POUR LES RESPONSABLES RELIGIEUX

CONTEXTE

Genèse du document

Reconnaissant que nous vivons tous dans des sociétés plurireligieuses, les responsables des Églises africaines se sont rassemblés à Addis-Abeba, en Éthiopie, à l’occasion de l’atelier régional «Enregistrement des naissances et législations sexistes en matière de nationalité en Afrique» de la Commission des Églises pour les affaires internationales (CEAI) du Conseil œcuménique des Églises (COE) et ont souligné l’importance de stratégies et d’affirmations interreligieuses dans notre travail de plaidoyer en faveur des droits de la personne des apatrides.

WCC Programmes

ÖRK-Generalsekretär angesichts der Krise an der griechisch-türkischen Grenze: „Migrierende sind keine Waffen, sondern Menschen“

Nachdem die Europäische Union und die Türkei im März 2016 ein entsprechendes Abkommen geschlossen hatten, hat die Türkei verschiedene Maßnahmen ergriffen, um Migrierende – von denen viele vor dem Konflikt in Syrien auf der Flucht sind – davon abzuhalten, in die EU einzureisen. Im Gegenzug hat die Türkei europäische Finanzhilfen für die Versorgung der Migrierenden und Flüchtlinge sowie Visa-Erleichterungen für türkische Staatsbürgerinnen und Staatsbürger erhalten. Am Freitag, dem 28. Februar, wurden die ergriffenen Maßnahmen nach militärischen Niederlagen im Nordwesten Syriens – wo die Türkei versucht hatte, eine Schutzzone zu errichten, um dort Millionen von syrischen Flüchtlingen unterzubringen und weil es türkischen Interessen im Konflikt mit den Kurden dient – ausgesetzt, was dazu führte, dass viele Menschen versuchten, über die Grenze nach Griechenland zu gelangen und dabei mit griechischen Sicherheitskräften aneinandergerieten.

«Les migrant-e-s ne sont pas des missiles, mais des personnes», déclare le secrétaire général du COE en réponse à la crise à la frontière gréco-turque

Après qu’un accord a été trouvé entre l’Union européenne et la Turquie en mars 2016, la Turquie a pris des mesures visant à empêcher les migrant-e-s, qui fuient en nombre le conflit syrien, d’atteindre l’UE en contrepartie d’une assistance européenne destinée aux personnes migrantes et réfugiées, et d’un assouplissement des critères d’obtention de visas européens pour ses ressortissant-e-s. Le vendredi 28 février, après avoir accusé des pertes militaires au nord-ouest de la Syrie, où la Turquie a tenté de créer une zone sécurisée pour y réinstaller des millions de réfugié-e-s syrien-ne-s et servir ses intérêts contre les Kurdes, ces mesures ont été suspendues, provoquant l’arrivée massive de personnes qui tentent de franchir la frontière grecque et le déclenchement d’affrontements avec les forces de sécurité grecques.

Afrikanische Kirchen wollen sich für die Bekämpfung der Staatenlosigkeit einsetzen

„Durch Staatenlosigkeit werden Menschen, die leicht missbraucht werden können und denen ihre Rechte vorenthalten werden, für nationale Behörden unsichtbar. In diesem Sinne ist das Recht auf eine Staatsangehörigkeit eine Frage des Zugangs zum Schutz durch alle anderen Menschenrechte – sozusagen das Recht, Rechte zu haben“, sagte Peter Prove, Direktor der Kommission der Kirchen für internationale Angelegenheiten des ÖRK, nach einem regionalen Workshop zum Thema Geburtenregistrierung und geschlechtsdiskriminierendes Staatsangehörigkeitsrecht in Afrika, der vom ÖRK vom 11.-13. Mai in Addis Abeba (Äthiopien) abgehalten wurde.

Les Églises africaines s’engagent à lutter contre l’apatridie

«L’apatridie rend invisible aux yeux des autorités nationales la vulnérabilité des personnes face aux abus ou à la négation de leurs droits. En cela, le droit à une nationalité est un enjeu fondamental pour l’accès à la protection de tous les autres droits humains. Il s’agit presque d’un "droit d’avoir des droits"», a déclaré Peter Prove, directeur de la Commission des Églises pour les affaires internationales du COE, après un atelier régional de formation traitant de l’enregistrement des naissances et des lois sur la nationalité qui entraînent une discrimination en fonction du sexe. Cet atelier était organisé par le COE à Addis-Abeba (Éthiopie) du 11 au 13 mai.

Des responsables religieux appellent à la protection des personnes déplacées

Aux côtés d'autres organisations d'inspiration religieuse, le Conseil œcuménique des Églises a contribué à la rédaction d'une déclaration publiée par l'agence de l'ONU pour les réfugiés. Cette déclaration vise à renforcer la protection des réfugiés et des personnes déplacées et apatrides, qui représentent plus de 40 millions d'individus dans le monde.